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Table des matières

Refuting Evolution

Index

Avant-propos et introduction

Chapitre 1

Les faits et les préjugés
Voir le Guide d’études, leçon 1

Chapitre 2

Variation et Sélection naturelle vs évolution
Voir le Guide d’études, leçon 2

Chapitre 3

Les chaînons manquent
Voir le Guide d’études, leçon 3

Chapitre 4

L’évolution des oiseaux ?
Voir le Guide d’études, leçon 4

Chapitre 5

L’évolution des baleines ?
Voir le Guide d’études, leçon 5

Chapitre 6

Les humains : images de Dieu ou singes savants ?
Voir le Guide d’études, leçon 6

Chapitre 7

L’astronomie
Voir le Guide d’études, leçon 7

Chapitre 8

Quel âge a la Terre ?
Voir le Guide d’études, leçon 8

Chapitre 9

L’explication par la conception est-elle légitime ?
Voir le Guide d’études, leçon 9

Chapitre 10

Conclusion

L’évolution réfutée, chapitre 4

Un manuel à destination des étudiants, des parents et des enseignants contrant les derniers arguments en faveur de la théorie de l’évolution

par , Ph.D., F.M.
Traduit par Narindra Ramanankasaina

L’évolution des oiseaux ?

Publié pour la première fois dans « Refuting Evolution », Chapitre 4

Les oiseaux sont des animaux avec des caractéristiques uniques, comme des plumes et des poumons spéciaux, et la plupart d’entre eux sont bien conçus pour le vol. Les évolutionnistes ont la conviction qu’ils ont évolué à partir des reptiles, peut-être même un type de dinosaure. « Teaching about Evolution and the Nature of Science » présente même un hypothétique intermédiaire entre les dinosaures et les oiseaux comme preuve de l’évolution. Cet intermédiaire, ainsi que d’autres arguments en faveur de l’évolution des oiseaux, sont examinés de manière critique dans ce chapitre. Celui-ci fournit aussi des informations détaillées sur certains des traits uniques des oiseaux.

L’archéopteryx

« Teaching about Evolution and the Nature of Science » contient plusieurs « dialogues » imaginaires entre des enseignants. Dans l’un d’eux (p. 8), il y a l’échange suivant :

Karen : Un étudiant de l’une de mes classes à l’université m’a dit qu’il y a de gros trous dans le registre fossile. Sais-tu quelque chose là-dessus ?

Doug : Et bien, il y a l’« archéoptéryx ». C’est un fossile qui a des plumes comme un oiseau mais le squelette d’un petit dinosaure. C’est un de ces chaînons manquants qui ne manquent plus à l’appel.

Archaeopteryx fossil
« Teaching about Evolution and the Nature of Science » contient l’image d’un fossile d’« archéoptéryx » comme celui-ci.

Sur la même page, il y a l’image d’un fossile d’« archéoptéryx », avec en légende :

Un oiseau qui a vécu il y a 150 millions d’années et qui avait beaucoup de caractéristiques reptiliennes a été découvert en 1861 et a contribué à étayer l’hypothèse de l’évolution proposée par Charles Darwin dans « De l’origine des espèces » deux ans plus tôt.

Toutefois, Alan Feduccia de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, autorité mondialement reconnue au sujet des oiseaux et lui-même évolutionniste, n’est pas d’accord avec des assertions comme celles de « Doug » :

Les paléontologues ont essayé de transformer l’archéoptéryx en un dinosaure emplumé terrestre. Mais c’est faux. C’est un oiseau, un oiseau arboricole. Et aucune quantité de « paléobaratin » ne va y changer quoi que ce soit.1

L’archéoptéryx avait des plumes de vol (comprenant des barbes asymétriques et des gouttières ventrales de renfort comme chez les oiseaux volants modernes), les ailes elliptiques classiques des oiseaux des bois modernes et une large furcula où venaient s’attacher les muscles responsables du battement des ailes.3 Son cerveau était essentiellement celui d’un oiseau volant, avec un cervelet et un cortex visuel volumineux. Le fait qu’il avait des dents n’a rien à voir avec son statut hypothétique de fossile transitionnel : un certain nombre d’oiseaux éteints avaient des dents, tandis que beaucoup de reptiles n’en ont pas. De plus, comme les autres oiseaux, ses deux maxillaires étaient mobiles. Chez la plupart des vertébrés, y compris les reptiles, seul le maxillaire inférieur est mobile.4

Des dinosaures emplumés ?

Archaeopteryx artist reconstruction
Une reconstruction d’artiste légitime de l’archéopteryx, en cohérence avec ses traits aviens connus.2

Ces dernières années, les médias ont publié des titres sur des soi-disant « dinosaures emplumés » prouvant que les dinosaures auraient évolué en oiseaux. Ces soi-disant ancêtres sont des types de théropodes, le groupe de dinosaures carnivores qui inclut le tyrannosaure.

Nous devons nous souvenir que les médias sensationnalisent souvent les « preuves » de l’évolution, mais que les réfutations postérieures, même venant d’autres évolutionnistes, ont rarement droit à plus qu’un entrefilet. Par exemple, en 1996, il y a eu des titres comme : « Un fossile emplumé prouve que certains dinosaures ont évolué en oiseaux ».5 Cela concernait un fossile nommé Sinosauropteryx prima.6 Les publications créationnistes ont conseillé à leurs lecteurs d’être sceptiques et de garder l’esprit ouvert.7 Elles obtinrent raison quand quatre importants paléontologues, dont John Ostrom de l’université de Yale, ont découvert par la suite que les « plumes » n’étaient qu’un ensemble de fibres parallèles,8 probablement du collagène.

[Mise à jour : Une recherche effectuée après la publication de ce livre démontre que les filaments de collagène faisaient partie d’une structure unique comme une crète dermique ou une collerette, comme chez certains lézards à collerette, ce n’étaient pas des plumes séparées. Cf. Lingham-Soliar T., « The evolution of the feather: Sinosauropteryx, life, death, and preservation of an alleged feathered dinosaur », J. Ornithol. 153(3):699–711, 2012 | doi:10.1007/s10336-011-0787-x; et l’étude basée dessus : Sarfati, J. D., « Feathered dinos—no feathers after all! », J. Creation 26(3):8–10, 2012.]

Il a été affirmé de Mononykus, un autre célèbre prétendu chaînon manquant de l’évolution du dino-au-zoziau, que c’était un « oiseau incapable de voler ».9 La couverture de Time magazine l’a même illustré avec des plumes, alors que l’on n’en a pas retrouvé la moindre trace.10 Des éléments de preuve postérieurs ont indiqué que le Mononykus n’était clairement pas un oiseau … c’était de toute évidence un théropode fouisseur aux pattes légères.11

Plusieurs agences de presse ont rapporté (en juin 1998) que deux fossiles découverts en Chine du Nord ont été déclarés des théropodes (dinosaures carnivores) à plumes. Les fossiles, Protarchaeopteryx robusta et Caudipteryx zoui, ont été déclarés « les ancêtres immédiats des premiers oiseaux ».’12

Les deux découvertes les plus récentes sont « datées » de cent vingt à cent trente-six millions d’années tandis que l’archéoptéryx, un vrai oiseau, est « daté » de cent quarante à cent cinquante millions d’années, ce qui rend ces « ancêtres des oiseaux » beaucoup plus jeunes que leurs descendants !

Feduccia n’est pas convaincu, et son collègue Larry Martin, paléontologue à l’université du Kansas, non plus. Martin dit : « Vous devez mettre cela en perspective. Pour les gens qui ont écrit cette étude, le poulet pourrait être un dinosaure à plumes. »13 Feduccia et Martin estiment que Protarchaeopteryx et Caudipteryx étaient plus probablement des oiseaux incapables de voler similaires aux autruches. Ils avaient des dents aviennes et n’avaient pas la longue queue que l’on trouve sur les théropodes. Caudipteryx utilisait même des pierres à gésier, comme les oiseaux herbivores modernes mais à la différence des théropodes.14

Il y a plusieurs problèmes avec le dogme de l’évolution du dinosaure à l’oiseau. Feduccia fait remarquer :

« Il est biophysiquement impossible que le vol évolue à partir d’aussi gros bipèdes dotés de lourds membres antérieurs rabougris et de lourdes queues équilibrantes », exactement la mauvaise anatomie pour le vol.15

Il y a aussi de solides éléments de preuve, à partir de la structure des membres antérieurs, que les dinosaures n’ont pas pu être les ancêtres des oiseaux. Une équipe menée par Feduccia a étudié les embryons d’oiseaux sous un microscope et a publié son étude dans le journal Science.16 Leurs découvertes ont été mentionnées comme suit :

De nouvelles recherches démontrent que les oiseaux n’ont pas le pouce embryonique que les dinosaures avaient, ce qui suggère qu’il est « presque impossible » que ces espèces soient de proches parentes.17

Les voiliers se sont-ils transformés en utilisateurs du vol battu ?

Feduccia et Martin rejettent l’idée que les oiseaux aient évolué à partir des dinosaures, et à raison. Mais ils ne sont pas disposés à abandonner la théorie de l’évolution, alors au lieu de cela, ils croient que les oiseaux ont évolué à partir de reptiles appelés crocodilomorphes. Ils proposent que ces petits reptiles crocodiliens vivaient dans les arbres, et « sautaient au départ, puis planaient de perchoir en perchoir. »18

Mais une étape où l’animal est un voilier n’est pas un intermédiaire entre un animal terrestre et un utilisateur du vol battu. Les voiliers ont des ailes plus longues que les utilisateurs du vol battu (comparez l’envergure d’un planeur avec celle d’un avion, ou celle d’oiseaux comme l’albatros qui passent beaucoup de temps à planer), et les planeurs ont une large membrane qui est très différente d’une aile (remarquez la forme d’un deltaplane ou d’un phalanger volant). Le vol battu requiert aussi que les mouvements des muscles soient très bien contrôlés, ce qui requiert que le cerveau comporte la programmation de ces mouvements. Au final, cela même requiert de l’information génétique neuve qu’une créature non-volante n’a pas.

Voici un autre problème :

Ni leur ancêtre hypothétique ni les formes transitionnelles qui les relient aux oiseaux fossiles connus n’ont été découverts. Et bien que l’on argue, à raison, de ce que les analyses cladistiques [les comparaisons de caractéristiques partagées] ne vont pas plus loin que les données sur lesquelles elles sont basées, aucune étude cladistique n’a suggéré jusqu’ici un ancêtre non-théropode.19

Pour faire court, Feduccia et Martin fournissent des critiques dévastatrices à l’encontre de l’idée que les oiseaux ont évolué à partir de dinosaures coureurs (la théorie cursoriale). Mais les tenanciers de l’évolution du dino-au-zoziau répliquent avec des arguments tout aussi puissants à l’encontre de l’idée de Feduccia et Martin (la théorie arboréale). Les éléments de preuve indiquent que les deux parties ont raison : les oiseaux n’ont évolué ni à partir de dinosaures coureurs ni à partir de crocodiles nains arboricoles. En fait, les oiseaux n’ont pas évolué à partir de créatures non-aviennes du tout ! Cela concorde avec le récit biblique selon lequel les genres distincts d’oiseaux ont été créés le cinquième jour (Gen. 1:20–23).

Les différences entre les reptiles et les oiseaux

Tous les évolutionnistes croient que les oiseaux ont évolué à partir d’une sorte de reptile, même s’ils ne sont pas d’accord les uns avec les autres sur son genre. Toutefois, les reptiles et les oiseaux sont très différents, de bien des manières. Les oiseaux volants ont des corps aérodynamiques, avec un poids centralisé pour l’équilibre pendant le vol, des os creux pour la légèreté – ce qui fait aussi partie de leur système respiratoire – de puissants muscles pour le vol, avec de longs tendons spécialement conçus qui parcourent des ouvertures similaires à des poulies dans les os de l’épaule, et une vision très acérée. Et les oiseaux ont deux des structures les plus brillamment conçues de la natures : leurs plumes et leurs poumons spécialisés.

Les plumes

Feduccia a dit que « les plumes sont une adaptation quasi-parfaite au vol » parce qu’elles sont légères, solides, aérodynamiques, et ont une structure complexe en barbes et en barbillons. Cette structure les rend imperméables, et un lissage rapide avec le bec suffit à faire se redresser les plumes aplaties pour leur redonner leur forme aérodynamique.20

Une plume agrandie

Examinez ci-contre ce gros plan incroyable des barbules d’une plume, montrant les minuscules barbillons et gouttières (grossis deux cents fois).21

L’athée évolutionniste Richard Dawkins, dans un livre fortement recommandé par « Teaching about Evolution and the Nature of Science », affirme avec désinvolture : « Les plumes sont des écailles reptiliennes modifiées »,22 un point de vue largement admis parmi les évolutionnistes. Mais les écailles sont des plissements de la peau ; les plumes sont des structures complexes avec une barbe, des barbules et des barbillons. Elles apparaissent aussi de manière totalement différente, à partir de follicules à l’intérieur de la peau, d’une manière similaire aux cheveux.

Au chapitre 2, nous avons montré que tout organe ou structure doit être représenté par de l’information au niveau génétique, écrite en un alphabet chimique dans la longue molécule d’ADN. Il est clair que l’information requise pour coder la construction d’une plume est d’un ordre substantiellement différent de celle pour une écaille. Pour que les écailles aient évolué en plumes, il aurait fallu qu’une quantité significative d’information apparût dans l’ADN de l’oiseau, information absente de celui de son hypothétique ancêtre reptile.

Comme d’habitude, la sélection naturelle n’aurait pas favorisé les formes intermédiaires hypothétiques. Beaucoup d’évolutionnistes affirment que les dinosaures ont développé des plumes pour s’isoler, et les ont développées davantage et affinées pour pouvoir voler. Mais comme toutes les « histoires comme ça », cela ne parvient pas à expliquer comment de l’information génétique neuve a fait son apparition pour pouvoir être sélectionnée.

Un autre problème :! la sélection pour l’isolation thermique est fort différente de celle pour le vol. Chez les oiseaux qui ont perdu la capacité de voler, les plumes ont aussi perdu beaucoup de leurs éléments structurels pour devenuir similaires aux poils. Sur les oiseaux incapables de voler, les mutations qui détériorent la structure aérodynamique des plumes ne seraient pas aussi handicapantes que sur un oiseau volant. Du coup, la sélection naturelle ne les éliminerait pas, et pourrait même sélectionner en faveur d’une telle dégénérescence. Comme d’habitude, la perte de la capacité à voler et la dégradation de la structure des plumes sont des pertes d’information, et n’ont donc rien à voir avec l’évolution, qui requiert une augmentation d’information. Tout ce qui importe est que les plumes fournissent de l’isolation, et les structures de type poil font l’affaire : elles marchent bien pour les mammifères.23 Autrement dit, la sélection naturelle travaillerait contre le développement de plumes qui servent à voler si les plumes servaient à l’isolation. Et des plumes semblables à des poils sont adéquates.

Les plumes duveteuses, communes chez les oiseaux incapables de voler, constituent aussi de bons isolants. Elles sont pelucheuses parce qu’elles n’ont pas les barbillons des plumes qui servent à voler. Encore une fois, la sélection naturelle travaillerait à l’empêchement de l’apparition de plumes aérodynamiques à partir de l’évolution de plumes thermo-isolantes.

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Voyez le contraste ci-dessus entre les structures détaillées d’une plume (à gauche) et les écailles (à droite), toutes deux grossies quatre-vingts fois.

Enfin, de même, les protéines des plumes (Φ-kératines) sont biochimiquement différentes des protéines de la peau et des écailles (α-kératines). Un chercheur a conclu :

Au niveau morphologique, les plumes sont traditionellement considérées comme homologues aux écailles reptiliennes. Toutefois, dans le développement, la morphogenèse [la production de la forme], la structure génétique, la forme et la séquence protéiques, ainsi que la formation et la structure des filaments, les plumes sont différentes.24

Le poumon avien

Des changements drastiques sont nécessaires pour changer un poumon de reptile en un poumon d’oiseau. Dans les poumons mammaliens, l’air est aspiré dans de petits sacs (les alvéoles) d’où le sang extrait l’oxygène et où il relâche le gaz carbonique. L’air vicié est ensuite expiré de la même manière qu’il a été inspiré. Les reptiles ont le même système de soufflets, mais leurs poumons sont septés ; c.-à-d. qu’ils sont comme une grosse alvéole cloisonnée par des excroissances appelées septa (septum au singulier) et venant des parois. L’échange gazeux se produit principalement dans les septa. Les oiseaux ont aussi des poumons septés, mais leur respiration est beaucoup plus complexe. Mais en plus de leurs poumons, ils ont un système compliqué de sacs d’air dans leurs corps, faisant même intervenir les os creux. Ce système maintient une circulation d’air unidirectionnelle dans des tuyaux spéciaux (les parabronches) dans le poumon, et le sang traverse les vaisseaux sanguins du poumon dans la direction opposée pour une absorption efficace d’oxygène,25 un excellent concept d’ingénierie.26

Comment les poumons de type « soufflet » des reptiles ont-ils pu évoluer graduellement pour donner des poumons aviens ? Les hypothétiques étapes intermédiaires n’auraient concevablement pas pu fonctionner comme il faut, ce qui signifie que la pauvre bête n’aurait pas pu respirer. La sélection naturelle aurait donc fonctionné de manière à préserver l’arrangement existant en éliminant tout intermédiaire inadapté.

De même, même en supposant que l’on puisse construire une série théorique d’étapes intermédiaires fonctionnelles, la sélection naturelle aurait-elle « mû » ces changements ? Probablement pas : les chauves-souris s’en tirent parfaitement avec des poumons de type soufflet – certaines peuvent même chasser à une altitude de trois kilomètres. Le poumon avien, avec sa super-efficacité, ne devient spécialement avantageux qu’à de très hautes altitudes avec des niveaux d’oxygène très bas. Il n’y aurait donc eu aucun avantage à remplacer le poumon reptilien.27

Nous ne devrions probablement pas être surpris de ce que l’œuvre maîtresse d’Alan Feduccia sur l’évolution des oiseaux ne touche même pas à ce problème.28

Certains chercheurs sur la structure des poumons du Sinosauropteryx ont démontré que « ses poumons de type soufflet n’ont pas pu évoluer pour donner les poumons hautement performants des oiseaux modernes. »29

De manière intéressante, certains défenseurs de l’évolution du dinosaure à l’oiseau écartent cette preuve en défaveur de leur théorie ainsi : « Les partisans de cet argument ne donnent aucun animal à partir des poumons duquel ceux des oiseaux ont pu apparaître, ceux-ci étant extrêmement complexes et différents des poumons de n’importe quel animal vivant. »30 Bien sûr, seule la religion de l’évolution requiert que les poumons d’oiseaux doivent être apparus à partir des poumons d’un autre animal.

Références et notes

  1. In V. Morell, Archaeopteryx: Early bird catches a can of worms, Science 259(5096):764–65, 5 février 1993. Revenir au texte.
  2. Avec la permission de Steve Cardno, 1994. Revenir au texte.
  3. A. Feduccia, Evidence from claw geometry indicating arboreal habits of Archaeopteryx, Science 259(5096):790–793, 5 février 1993. Revenir au texte.
  4. D. Menton et C. Wieland, Bird evolution flies out the window, Creation 16(4):16–19, septembre-novembre 1994. Revenir au texte.
  5. The Examiner, Launceston, Tasmania, 19 octobre 1996. Revenir au texte.
  6. Ann Gibbons, New feathered fossil brings dinosaurs and birds closer, Science 274:720–721, 1996. Revenir au texte.
  7. J. D. Sarfati, Kentucky fried dinosaur? Creation 19(2):6, mars-mai 1997. Revenir au texte.
  8. New Scientist 154(2077):13, 12 avril 1997 ; No dino feathers after all, Creation 19(3):6, juin-août 1997. Revenir au texte.
  9. A. Perle et al., Flightless bird from the Cretaceous of Mongolia, Nature 362:623–626, 1993 ; note corrective du nom de « Mononykus », vu que le choix de Perle et al., « Mononychus », était déjà pris, Nature 363:188, 1993. Revenir au texte.
  10. Time (Australie), 26 avril 1993. Revenir au texte.
  11. D. P. Prothero et R. M. Schoch, éditeurs, Major Features of Vertebrate Evolution, On the Origin of Birds and of Avian Flight, par J. H. Ostrom (Knoxville, Tennessee : Presses de l’Université du Tennessee, 1994), pp. 160–177. Revenir au texte.
  12. Ji Qiang, P. J. Currie, M. A. Norell, and Ji Shu-An, Two feathered dinosaurs from northeastern China, Nature 393(6687):753–761, 25 juin 1998. Perspective par K. Padian, même numéro, pp. 729–730. Revenir au texte.
  13. Cité sur le site de CNN, www.cnn.com, le 24 juin 1998. Revenir au texte.
  14. Washington Post, 25 juin 1998. Revenir au texte.
  15. A. Gibbons, New feathered fossil brings dinosaurs and birds closer, Science 274:720–721, 1996. Revenir au texte.
  16. A. C. Burke et A. Feduccia, Developmental patterns and the identification of homologies in the avian hand, Science 278(5338):666–668, 24 octobre 1997, avec une perspective par R. Hinchliffe, The forward march of the bird-dinosaurs halted?, pp. 596–597 ; J. D. Sarfati, Dino-bird evolution falls flat, Creation 20(2):41, mars 1998. Revenir au texte.
  17. The Cincinnati Enquirer, 25 octobre 1997. Revenir au texte.
  18. P. Shipman, Birds do it … Did dinosaurs? New Scientist 153(2067):26–31, 1er février 1997, p. 28. Revenir au texte.
  19. Ibid. Revenir au texte.
  20. A. Feduccia, The Origin and Evolution of Birds (New Haven, Connecticut : Presses de l’Université de Yale, 1996), p. 130. Revenir au texte.
  21. Photographié avec la permission du Dr David Menton. Revenir au texte.
  22. C. R. Dawkins, Climbing Mount Improbable (Harmondsworth, Middlesex, England : Penguin Books, 1996), p. 113. Revenir au texte.
  23. A. Feduccia, The Origin and Evolution of Birds (New Haven, Connecticut : presses de l’Université de Yale, 1996), p. 130. Revenir au texte.
  24. A. H. Brush, On the origin of feathers, Journal of Evolutionary Biology 9:131–142, 1996. Revenir au texte.
  25. M. Denton, Evolution, a Theory in Crisis (Bethesda, Maryland : Adler & Adler, 1985), pp. 199–213 ; K. Schmidt-Nielsen, How birds breathe, Scientific American, décembre 1971, pp. 72–79. Revenir au texte.
  26. Les ingénieurs font grand usage du principe de l’échange à contre-courant qui est courant aussi parmi les organismes vivants – cf. P. F. Scholander, The wonderful net, Scientific American, avril 1957, pp. 96–107. Revenir au texte.
  27. Michael Denton, Blown away by design, Creation 21(4):14–15. Revenir au texte.
  28. A. Feduccia, The Origin and Evolution of Birds (New Haven, Connecticut : presses de l’Université de Yale, 1996). Toutefois, ce livre démontre que le dogme de l’évolution du dinosaure à l’oiseau comporte beaucoup de trous. Revenir au texte.
  29. Ann Gibbons, New feathered fossil brings dinosaurs and birds closer, Science 274:720–721, 1996. Revenir au texte.
  30. K. Padian et L. M. Chiappe, The origin of birds and their flight, Scientific American 278(2):38–47, février 1998, p.  43. Revenir au texte.

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