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Table des matières

Refuting Evolution

Index

Avant-propos et introduction

Chapitre 1

Les faits et les préjugés
Voir le Guide d’études, leçon 1

Chapitre 2

Variation et Sélection naturelle vs évolution
Voir le Guide d’études, leçon 2

Chapitre 3

Les chaînons manquent
Voir le Guide d’études, leçon 3

Chapitre 4

L’évolution des oiseaux ?
Voir le Guide d’études, leçon 4

Chapitre 5

L’évolution des baleines ?
Voir le Guide d’études, leçon 5

Chapitre 6

Les humains : images de Dieu ou singes savants ?
Voir le Guide d’études, leçon 6

Chapitre 7

L’astronomie
Voir le Guide d’études, leçon 7

Chapitre 8

Quel âge a la Terre ?
Voir le Guide d’études, leçon 8

Chapitre 9

L’explication par la conception est-elle légitime ?
Voir le Guide d’études, leçon 9

Chapitre 10

Conclusion

L’évolution réfutée, chapitre 5

Un manuel à destination des étudiants, des parents et des enseignants contrant les derniers arguments en faveur de la théorie de l’évolution

par , Ph.D., F.M.
Traduit par Narindra Ramanankasaina

L’évolution des baleines ?

Publié pour la première fois dans « Refuting Evolution », Chapitre 5

Les cétacés (les baleines et les dauphins) sont en réalité des mammifères, pas des poissons. Mais ils vivent leur vie entière dans l’eau, contrairement à la plupart des mammifères, qui vivent sur la terre ferme. Mais les évolutionnistes sont convaincus que les cétacés ont évolué à partir de mammifères terrestres. Une série prétendument transitionnelle est affichée de manière bien visible dans « Teaching about Evolution and the Nature of Science ». Ce chapitre l’analyse, ainsi que d’autres arguments en faveur de l’évolution des cétacés, et met en évidence certaines des caractéristiques uniques des baleines et des dauphins.

Ces belles baleines

Les cétacés ont plusieurs caractéristiques uniques qui leur permettent de vivre dans l’eau. Par exemple :

  • Une énorme capacité pulmonaire avec un échange d’oxygène efficace pour les longues plongées.
  • Une puissante queue avec de larges nageoires horizontales qui leur accordent une grande puissance de nage.
  • Des yeux conçus pour voir correctement dans l’eau, qui dispose d’un indice de réfraction bien plus élevé, et pour supporter une pression élevée.
  • Des oreilles d’une conception différente de celles des mammifères terrestres, qui captent les sons véhiculés par l’air, et dont les tympans sont protégés contre les pressions élevées.
  • Une peau glabre sans glandes sudoripares mais avec une couche de graisse fibreuse.
  • Les nageoires et les langues des baleines disposent d’échangeurs thermiques à contre-courant pour minimiser la perte de chaleur.
  • Des narines au sommet de la tête (évents).
  • Une bouche et des mamelons spécialement entr’adaptés pour que le bébé puisse être allaité sous l’eau.
  • Les baleines mysticètes ont des fanons qui sortent de leur palais et filtrent le plancton qui leur tient lieu de nourriture.

Plusieurs cétacés détectent les objets par écholocation. Ils ont un système de sonar si précis que la marine américaine le leur envie. Il peut détecter un poisson de la taille d’une balle de golf à soixante-dix mètres de distance. Il a fallu un expert de la théorie du chaos pour mettre en évidence que le motif des « clics » du dauphin est mathématiquement conçu pour leur donner la meilleure information possible.1

La plupart des dauphins et petites baleines utilisateurs de l’écholocation possèdent une caractéristique incroyable  le « melon », une protubérance graisseuse sur le front. Ce « melon » est en fait une lentille sonique – une structure sophistiquée conçue pour concentrer les ondes soniques émises en un rayon que le dauphin peut diriger où il le souhaite. Cette lentille sonique dépend du fait que des lipides (composés gras) différents dévient les ondes ultrasoniques qui les traversent de manières diverses. Les différents lipides doivent être disposés dans les bonnes forme et séquence pour concentrer les échos reçus en retour. Chaque lipide est respectivement unique et différent des lipides qui composent normalement les couches de graisse des animaux, et ils sont produits par un processus chimique compliqué, requérant un certain nombre d’enzymes différentes.2

Pour qu’un tel organe eût pu apparaître par évolution, des mutations aléatoires auraient dû produire les bonnes enzymes pour faire les bons lipides, et d’autres mutations auraient dû faire en sorte que les lipides fussent déposés aux bons endroits et dans les bonnes formes. Une évolution graduelle de l’organe n’est pas faisable, parce qu’en attendant que les lipides fussent produits de manière entièrement correcte et qu’ils fussent déposés aux bons endroits et dans les bonnes formes ne serait-ce que partiellement, ils auraient été inutiles. De ce fait, la sélection naturelle n’aurait pas favorisé des formes incomplétes intermédiaires.

Les chaînons manquants

Les évolutionnistes sont convaincus que les baleines ont évolué à partir d’une sorte de mammifère terrestre. Selon « Teaching about Evolution and the Nature of Science », p. 18, ils ont « évolué à partir d’un groupe primitif d’ongulés appelés mésonychidés. »

Toutefois, beaucoup de changements sont requis pour qu’une baleine puisse évoluer à partir d’un mammifère terrestre. L’un d’eux est de se débarrasser du pelvis. Celui-ci aurait tendance à écraser l’orifice reproducteur à cause des mouvements propulseurs de la queue. Mais un pelvis atrophié serait incapable de supporter les membres inférieurs nécessaires à la marche. Ainsi, l’hypothétique forme transitionnelle en question serait inadaptée et à la mer et à la terre ferme et, partant, très vulnérable. De plus, la partie inférieure du corps doit pouvoir pivoter sur la partie supérieure pour que le mouvement latéral de la queue puisse être converti en mouvement vertical. Les otaries et les dugongs ne sont pas des intermédiaires anatomiques entre les mammifères terrestres et les baleines. Ils ont leurs spécialisations bien à eux.

La prise de conscience de l’absence de formes transitionnelles dans le registre fossile a été réalisée par des experts évolutionnistes des baleines comme feu E. J. Slijper : « Nous n’avons pas un seul fossile des formes transitionnelles entre les animaux terrestres susmentionnés [à savoir, les carnivores et les ongulés] et les baleines. »3

Les fossiles de baleines les plus en bas dans le registre fossile mettent en évidence que ces animaux étaient complètement aquatiques depuis leur première apparition. Toutefois, « Teaching about Evolution and the Nature of Science » est écrit en tant que panégyrique de l’évolution. Il reconstitue donc quelques découvertes récentes de fossiles pour soutenir les histoires d’évolution des baleines que Slijper croyait par la foi. En p. 18, il y a une jolie image d’une série prétendument transitionnelle entre les mammifères terrestres et les baleines (chaque forme transitionnelle étant à peu près de la même taille sur le dessin, sans aucune mention du fait que certaines de ces créatures étaient immensément différentes en taille —  voir la section sur le Basilosaurus dans ce chapitre). Elle semble dérivée d’un article du magazine Discover.4 La liste de Discover (ci-dessous) est identique à celle de « Teaching about Evolution and the Nature of Science » à part que cette dernière met Basilosaurus en quatrième et que celle de Discover a des « dates » :

  • Mésonychidé (- 55 millions d’années)
  • Ambulocetus (- 50 millions d’années)
  • Rodhocetus (- 46 millions d’années)
  • Prozeuglodon (- 40 millions d’années)

On remarque le manque de temps pour qu’un grand nombre de changements se produisent par mutation et sélection naturelle. Si une mutation aboutit à un nouveau gène, pour que celui-ci remplace l’ancien gène dans une population, les individus qui portent celui-ci doivent être éliminés, et cela prend du temps. Des calculs basés sur la génétique des populations suggèrent qu’en cinq millions d’années (un de plus que le laps de temps supposé entre Ambulocetus et Rodhocetus), des animaux dont une génération dure dix ans (ce qui est typique des baleines) ne pourraient substituer plus de mille sept cents mutations environ.5 C’est loin d’être suffisant pour générer la nouvelle information dont les baleines ont besoin pour une vie aquatique, même en admettant que toutes les hypothétiques mutations génératrices de nouvelle information requises aient pu se produire d’une manière ou d’une autre. (Et comme démontré au chapitre 9, la vraie science met en évidence que cela ne peut pas se produire.)

Reconstitution de l’Ambulocetus

(A) Reconstitution de l’Ambulocetus, « à la fin de la poussée pendant le cycle de nage ».7 Les os en pointillé sont les seuls retrouvés, et ceux qui sont grisés ont été trouvés cinq mètres plus haut que le reste.
(B) Une fois les « rajouts » supprimés, il ne reste vraiment pas grand-chose d’Ambulocetus !

Ambulocetus

Le deuxième de cette « série transitionnelle » est Ambulocetus natans (« la baleine marcheuse qui nage »), de deux mètres de long. Comme les médias laïques et les journaux scientifiques les plus « populaires », « Teaching about Evolution and the Nature of Science » présente souvent de jolies histoires toutes lisses aux lecteurs, mais pas les tenants et les aboutissants de la méthodologie de la recherche, ses limitations y comprises. Les jolies images d’Ambulocetus natans dans ces publications sont basées sur le produit des imaginations des artistes et devraient être comparées aux os mêmes qui ont été découverts ! La différence est bien illustrée dans l’article A Whale of a Tale?6 Cet article met en évidence que les éléments squelettiques cruciaux à l’établissement de la transition à partir d’un mammifère terrestre non-aquatique brillent par leur absence (cf. diagramme). Pratique, non ?… De ce fait, les affirmations tonitruantes sur la signification des fossiles ne peuvent pas être évaluées de manière critique. La biologiste de l’évolution Annalisa Berta a fait le commentaire suivant sur le fossile Ambulocetus :

La ceinture pelvique n’étant pas conservée, il n’y a pas de preuve directe chez Ambulocetus d’une connection entre les membres inférieurs et le squelette axial. Cela empêche les interprétations de la locomotion chez cet animal, puisque plusieurs des muscles qui supportent et meuvent le membre inférieur ont leur origine sur le pelvis.7

Pour finir, il s’est vu assigner (par des méthodes de datation évolutionnistes) une date plus récente que celle de baleines reconnues, il est donc peu probable qu’il soit un ancêtre terrestre des baleines.

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Séquence supposée de la transition du mammifère terrestre à la baleine
[Extrait de « Teaching about Evolution and the Nature of Science »]

Basilosaurus

Basilosaurus isis (ou Zeuglodon) est la quatrième et dernière forme transitionnelle postulée en p. 18 de « Teaching about Evolution and the Nature of Science ». Basilosaurus veut dire « roi lézard » en grec, mais c’était en réalité un mammifère marin serpentin d’environ vingt-et-un mètres de long, avec un crâne d’1,5 m de long. Il était dix fois plus long qu’Ambulocetus, alors que « Teaching about Evolution and the Nature of Science » les représente à la même taille (ci-dessus) – ça les aide à donner l’impression désirée (mais fausse) qu’il y a là une série transitionnelle authentique.

Toutefois, Basilosaurus était entièrement aquatique, il aurait donc difficilement pu être une forme transitionnelle entre les mammifères terrestres et les baleines. De plus, Barbara Jaffe Stahl (1930–2004), paléontologue des vertébrés et évolutionniste, fait remarquer :

La forme serpentine du corps et la forme particulière des dents jugales mettent en évidence que ces archéocètes [comme Basilosaurus] ne pouvaient vraisemblablement pas avoir été les ancêtres des baleines modernes.

Les deux sous-ordres de cétacés, les odontocètes (cétacés à dents) et les mysticètes (cétacés à fanons), apparaissent abruptement dans le registre fossile. Stahl a mis l’accent sur ce qui suit en ce qui concerne la structure crânienne chez les deux types :

… montre une étrange modification qui n’est pas présente, même de manière rudimentaire, chez Basilosaurus et ses parents : en conjonction avec la migration vers l’arrière des narines sur la surface dorsale de la tête, les os nasaux sont réduits et déplacés vers le haut et les éléments prémaxillaires et maxillaires se sont élargis vers l’arrière pour recouvrir la voûte crânienne d’origine.8

Basilosaurus avait bel et bien de petits membres inférieurs (certainement trop petits pour la marche), et « Teaching about Evolution and the Nature of Science » dit : « on pensait qu’ils n’étaient pas fonctionnels ». Mais ils servaient probablement à s’accrocher pendant la copulation, même selon d’autres évolutionnistes. Par example, l’expert de l’évolution des baleines Philip Gingerich a dit : « Il me semble qu’ils ne pouvaient avoir été que des sortes de ptérygopodes. »9

Pakicetus

Pakicetus inachus est encore un autre candidat au titre d’intermédiaire entre les baleines et les mammifères terrestres aux yeux de certains évolutionnistes. D’après les méthodes de « datation » évolutionnistes, il a 52 millions d’années. Comme certaines publications éducatives ont aussi affirmé que Pakicetus est transitionnel (cf. diagramme), cela vaut la peine d’en discuter, même s’il est absent de « Teaching about Evolution and the Nature of Science ». Cela indique que ses auteurs ne croient pas que Pakicetus soit un bon exemple d’intermédiaire. C’est peut-être parce que Pakicetus n’est connu qu’à partir de quelques dents jugales et des fragments du crâne et de la mâchoire inférieure, de sorte que nous n’avons aucun moyen de savoir si son mode de locomotion était transitionnel. Le diagramme montre une reconstruction imaginative enseignée aux enseignants scolaires et affichée sur la couverture de « Science », comparée à la réalité telle que rapportée dans le même numéro. Remarquez que seules les parties en pointillé du crâne représentent les preuves fossiles tangibles, tandis que le reste est « reconstitué ». Mais nous savons que son mécanisme auditif était celui d’un mammifère terrestre et qu’il a été découvert dans des sédiments fluviaux avec d’autres animaux terrestres.10 Les éléments de preuve démontrent donc que c’était probablement un mammifère terrestre, pas une forme transitionnelle.11

Reconstitution du Pakicetus vs réalité

En haut à gauche : Première reconstitution de Gingerich10,12
En bas à gauche : ce qui a été découvert concrètement10,12
En haut à droite : squelette plus complet13
En bas à droite : reconstitution plus raisonnable15

Après que j’eusse écrit pour la première fois « L’évolution réfutée », de nouvelles recherches ont mis à mal cette reconstitution. Cela met en évidence un phénomène récurrent en paléontologie évolutionniste. Plusieurs des hypothétiques formes transitionnelles sont basées sur des restes fragmentaires, sujets de ce fait à plusieurs interprétations basées sur les axiomes de chacun. Le présupposé évolutionniste implique que de tels restes sont souvent susceptibles d’être interprétés en tant que formes transitionnelles, comme dans le cas de Gingerich, et il prévaut aussi dans les allégations sur les hommes-singes. Mais quand l’on découvre plus d’os, alors les fossiles correspondent presque toujours à l’un ou l’autre type, et ne sont plus plausibles comme formes transitionnelles. Il est remarquable aussi que les formes prétendument intermédiaires soient proclamées à cor et à cri dans les médias, tandis que les rétractations sont généralement publiées avec la plus grande discrétion pour autant qu’elles le soient.

Un expert des baleines de premier plan, Thewissen, avec ses collègues, a déterré quelques os de Pakicetus en plus, et ils ont publié leur travail dans le journal Nature.13 Le commentaire de cette étude, dans le même numéro,14 dit : « Tous les os post-crâniens indiquent que les pakicétidés étaient des mammifères terrestres, et … indiquent que ces animaux étaient des coureurs, seuls leurs doigts touchaient le sol. » (Cf. illustration ci-dessus à droite.) C’est très différent de l’image d’animal aquatique de Gingerich ! Mais le présupposé évolutionniste reste clair : Pakicetus est décrit comme un « cétacé terrestre », et il est dit : « Les premières baleines étaient pleinement terrestres, et des coureuses efficaces. » Mais le terme « baleine » perd tout sens s’il peut décrire des mammifères terrestres, et il ne fournit aucun aperçu sur la manière dont les vraies baleines marines sont supposément apparues par évolution.

De plus, « de solides données anatomiques » contredisent les théories précédentes de l’ascendance des baleines. L’article journalistique Fossil finds show whales related to early pigs déclare :

« Jusqu’à présent, les paléontologues pensaient que les baleines avaient évolué à partir des mésonychiens, un groupe disparu de carnivores terrestres, tandis que les scientifiques moléculaires qui étudient l’ADN étaient convaincus qu’elles descendaient des artiodactyles [ongulés à nombre d’orteils pair].

« “Les paléontologues, et je m’y inclus, avaient tort”, a dit Gingerich. »

Une telle sincérité est louable, et elle met en évidence l’erreur de raisonnement qui consiste à se fier à de soi-disant « preuves » de l’évolution. Dommage que Gingerich soit toujours convaincu de l’évolutionnisme matérialiste.

G. A. Mchedlidze, un expert russe des baleines, a exprimé des doutes sérieux sur l’idée que des créatures comme Pakicetus et Ambulocetus, ainsi que d’autres— même si acceptés en tant que mammifères aquatiques — puissent être adéquatement considérés comme les ancêtres des baleines modernes. Il les voit plutôt comme un groupe complètement isolé.16

Des pattes arrière vestiges de l’évolution ?

Plusieurs évolutionnistes soutiennent l’évolution des baleines en arguant de ce qu’elles ont des pattes arrière enfouies dans la chair, vestiges devenus inutiles de l’évolution devenus inutiles. Toutefois, ces prétendus « reliquats » ne sont pas inutiles du tout, mais ils aident à renforcer les organes reproductifs – les os sont différents chez les males et les femelles. Ces pattes sont donc le mieux expliquées par la création, pas par l’évolution.17 Tout comme en ce qui concerne les membres prétendument non-fonctionnels de Basilosaurus, nous ne devrions pas présumer que l’ignorance d’une fonction est synonyme d’absence de fonction.

D’après un mythe promulgué par certains évolutionnistes, certaines baleines munies de pattes postérieures complètes, avec des muscles des cuisses et des genoux, auraient été découvertes. Toutefois, le téléphone arabe a vraisemblablement fait surgir cette légende à partir de la vraie histoire, qui a fait boule de neige, d’un cachalot réel avec une bosse de quatorze centimètres contenant un morceau d’os de douze centimètres dedans. Les cachalots font en général dix-neuf mètres de long, ce morceau d’os anormal est donc minuscule par rapport à l’animal – cela peut difficilement être qualifié de « patte » !18

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Références et notes

  1. R. Howlett, Flipper’s secret, New Scientist 154(2088):34–39, 28 juin 1997. Revenir au texte.
  2. U. Varanasi, H. R. Feldman et D. C. Malins, Molecular basis for formation of lipid sound lens in echolocating cetaceans, Nature 255(5506):340–343, 22 mai 1975. Revenir au texte.
  3. E. J. Slijper, Dolphins and Whales (Ann Arbor, Michigan : presse de l’université du Michigan, 1962), p. 17. Revenir au texte.
  4. C. Zimmer, Back to the sea, Discover, p. 83, janvier 1995. Revenir au texte.
  5. Cela est pleinement expliqué dans W. J. ReMine, The Biotic Message (St. Paul, Minnesota : St. Paul Science, 1993), chapitre 8 (cf. analyse). Revenir au texte.
  6. D. Batten, A Whale of a Tale? Journal of Creation 8(1):2–3, 1994. Revenir au texte.
  7. J. G. M. Thewissen, S. T. Hussain, et M. Arif, Fossil evidence for the origin of aquatic locomotion in archeocete whales, Science 263(5144):210–212, 14 janvier 1994. Perspective par A. Berta, What is a whale?, même numéro, p. 180–181. Revenir au texte.
  8. B. J. Stahl, Vertebrate History: Problems in Evolution (New-York : McGraw-Hill, 1974), p. 489 ; emphase rajoutée. Revenir au texte.
  9. The Press Enterprise, 1er janvier 1990. A–15. Revenir au texte.
  10. P. D. Gingerich, N. A. Wells, D. E. Russell et S. M. I. Shah, Origin of whales in epicontinental remnant seas: new evidence from the Early Eocene of Pakistan, Science 220(4595):403–406, 22 avril 1983. Revenir au texte.
  11. Une analyse détaillée d’hypothétiques baleines intermédiaires est : A. L. Camp, The overselling of whale evolution, Creation Matters 3(3):1–5, mai–juin 1998 ; en ligne sur trueorigin.org/whales.php. Revenir au texte.
  12. P. D. Gingerich, Evidence for evolution from the vertebrate fossil record, Journal of Geological Education 31:140–144, 1983. Revenir au texte.
  13. Thewissen, J. G. M., Williams, E. M., Roe, L. J. et Hussain, S. T., Skeletons of terrestrial cetaceans and the relationship of whales to artiodactyls, Nature 413:277–281, 20 septembre 2001; nature.com/articles/35095005. Revenir au texte.
  14. Muizon, C. de, Walking with whales, Nature 413:259–260, 20 septembre 2001 ; nature.com/articles/35095137. Revenir au texte.
  15. Pakicetus … eight years on. Illustration : Carl Buell, www.neoucom.edu/Depts/Anat/Pakicetid.html. Revenir au texte.
  16. G. A. Mchedlidze, General Features of the Paleobiological Evolution of Cetacea, traduit du russe vers l’anglais (Rotterdam : A. A. Balkema, 1986), p. 91. Revenir au texte.
  17. J. Bergman et G. Howe, Vestigial Organs Are Fully Functional, monographe n° 4 de la Creation Research Society. Revenir au texte.
  18. C. Wieland, The strange tale of a leg on a whale, CreationCreation Research Society20(3):10–13, juin–août 1998. Revenir au texte.

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