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Table des matières

Refuting Evolution

Index

Avant-propos et introduction

Chapitre 1

Les faits et les préjugés
Voir le Guide d’études, leçon 1

Chapitre 2

Variation et Sélection naturelle vs évolution
Voir le Guide d’études, leçon 2

Chapitre 3

Les chaînons manquent
Voir le Guide d’études, leçon 3

Chapitre 4

L’évolution des oiseaux ?
Voir le Guide d’études, leçon 4

Chapitre 5

L’évolution des baleines ?
Voir le Guide d’études, leçon 5

Chapitre 6

Les humains : images de Dieu ou singes savants ?
Voir le Guide d’études, leçon 6

Chapitre 7

L’astronomie
Voir le Guide d’études, leçon 7

Chapitre 8

Quel âge a la Terre ?
Voir le Guide d’études, leçon 8

Chapitre 9

L’explication par la conception est-elle légitime ?
Voir le Guide d’études, leçon 9

Chapitre 10

Conclusion

L’évolution réfutée, conclusion

Un manuel à destination des étudiants, des parents et des enseignants contrant les derniers arguments en faveur de la théorie de l’évolution

par , Ph.D., F.M.
Traduit par Narindra Ramanankasaina

Conclusion

Ce livre a répondu aux principaux arguments en faveur de la théorie de l’évolution presentés par « Teaching about Evolution and the Nature of Science » et les a trouvés légers. En contraste, les preuves en faveur de la création sont convaincantes. « L’évolution refutée » a notamment parcouru les neuf domaines suivants dans ses neuf chapitres :

  1. Chapitre 1 : les faits ne parlent pas d’eux-mêmes, mais doivent être interprétés selon un cadre. Les évolutionnistes ont un point de vue biaisé en faveur du naturalisme, au point que nombre d’entre eux sont des athées fervents. Cela est particulièrement vrai de l’Académie nationale des sciences américaine, productrice de « Teaching about Evolution and the Nature of Science ». En contraste, les créationnistes admettent qu’ils ont un point de vue biaisé en faveur de la création telle que révélée dans la Bible. Bien qu’ils disposent des mêmes faits que les évolutionnistes, les interpréter selon le cadre biblique résulte en une théorie plus convaincante sur le plan scientifique.

  2. Chapitre 2 : tant ceux qui adhèrent au cadre création biblique/corruption/Déluge que ceux qui soutiennent la méga-évolution enseignent que les organismes changent dans le temps, et que les mutations et la sélection naturelle y jouent un rôle important. Mais les évolutionnistes postulent que les changements finissent par augmenter la teneur en information, de sorte qu’une unique cellule vivante (qu’ils affirment être apparue à partir de matières chimiques non vivantes) aurait été l’ancêtre de tout le reste du vivant. Les créationnistes sont convaincus que Dieu créa à l’origine les différents types d’animaux [le terme technique est baramin, de l’hébreu bara, créer, et miyn, type, NdT] séparément, et que d’une manière générale, soit les changements suppriment de l’information, soit ils ne changent rien à la teneur totale en information. Les exemples d’« évolution en action » présentés par « Teaching about Evolution and the Nature of Science » ne démontrent pas l’augmentation d’information requise par la théorie de l’évolution. Ce sont plutôt des exemples de variation à l’intérieur d’un baramin, et s’insèrent parfaitement dans le cadre de la création.

  3. Chapitre 3 : depuis Darwin, les évolutionnistes ont prédit que le registre fossile afficherait beaucoup de formes intermédiaires qui tiendraient chacune lieu de chaînon entre un type d’organisme et un autre. Au lieu de cela, le registre fossile comprend des animaux qui apparaissent d’un seul coup et entièrement formés, avec tout juste une poignée d’exemples discutables de prétendues formes transitionnelles. Il est de même douteux, dans bien des cas, que l’on puisse seulement imaginer des intermédiaires fonctionnels.

  4. Chapitre 4 : les oiseaux sont des créatures uniques, avec des ailes et des plumes conçues pour le vol, et des poumons spéciaux, complètement différents de ceux de n’importe quel reptile. Certains évolutionnistes proposent que les oiseaux auraient évolué à partir de reptiles arboricoles planeurs, d’autres à partir de dinosaures coureurs. Chaque groupe réfute l’autre avec des arguments si convaincants qu’une conclusion raisonnable en ressort : les oiseaux n’ont pas évolué à partir de non-oiseaux du tout.

  5. Chapitre 5 : les baleines sont des mammifères conçus pour la vie aquatique, avec beaucoup de caractéristiques uniques. « Teaching about Evolution and the Nature of Science » affirme que les baleines ont évolué à partir d’animaux terrestres, et présente une soi-disant série d’intermédiaires jusqu’au cétacé. Mais lorsqu’ils sont analysés de plus près, aucun ne résiste. Par exemple, nous voyons que les preuves fossiles en faveur d’un prétendu intermédiaire-clé, Ambulocetus, sont fragmentaires. Un autre prétendu intermédiaire, Basilosaurus, fait en réalité dix fois la taille d’Ambulocetus alors que le livre les dessine à peu près à la même taille. Et un paléontologue des vertébrés évolutionniste fait remarquer que la forme particulière de son corps et celle de ses dents signifient que Basilosaurus « ne pouvait vraisemblablement pas avoir été l’ancêtre des baleines modernes ».

  6. Chapitre 6 : les humains sont très différents des singes, en particulier au niveau de l’intelligence et du langage. « Teaching about Evolution and the Nature of Science » présente une série de soi-disant crânes d’hommes-singes. Mais les éléments de preuve indiquent que les humains et les australopithèques sont des types distincts de créatures. Ils comprennent une analyse des canaux semi-circulaires dans l’oreille et du canal par lequel le nerf arrive à la langue. Les similitudes entre les humains et les chimpanzés sont exagérées ; les dissimilitudes correspondent à des différences encyclopédiques en teneur en information. Un créateur commun constitue une meilleure explication des similitudes comme des différences. Des dessins corrects d’embryons mettent en évidence que divers types de créatures sont très différentes sous leurs formes embryonnaires, et pas similaires, en dépit des allégations de « Teaching about Evolution and the Nature of Science ».

  7. Chapitre 7 : « Teaching about Evolution and the Nature of Science » présente la sempiternelle théorie du Big Bang. Toutefois, il n’existe pas d’explication évolutionniste satisfaisante de la manière dont l’univers a pu apparaître sans cause, ni de la formation des étoiles et des systèmes solaires après un tel « Big Bang » hypothétique. « Teaching about Evolution and the Nature of Science » discute aussi de l’affaire Galilée tout en passant à côté de l’essentiel. L’Église avait adopté le cadre ptolémaïque et interprété la Bible dans ce sens. Les défenseurs laïques de ce cadre ont persuadé les responsables religieux que Galilée contredisait bel et bien la Bible. Qui plus est, les versets (mal) utilisés pour enseigner l’astronomie ptolémaïque étaient souvent pris des Psaumes, de la poésie hébraïque (contrairement à la Genèse), dont le but n’était clairement pas d’enseigner un modèle cosmologique particulier. De même, d’autres passages bibliques (mal) utilisés utilisaient la Terre comme réferentiel  leur procédure était incorrecte au niveau scientifique.

  8. Chapitre 8 : « Teaching about Evolution and the Nature of Science » enseigne que la Terre est âgée de milliards d’années, et utilise les fossiles et la datation radiométrique comme « preuves ». Toutefois, il y a des éléments de preuve que beaucoup de roches et de fossiles se sont formés par des processus catastrophiques, ce qui est en cohérence avec le cadre biblique qui comprend un Déluge mondial. La théorie de la datation radiométrique repose sur plusieurs suppositions invérifiables sur le passé, et les méthodes correspondantes se sont souvent avérées fausses, voire auto-contradictoires, dans la pratique. 90 % des méthodes qui ont été utilisées pour estimer l’âge de la Terre indiquent qu’il est de beaucoup inférieur à celui prôné par « Teaching about Evolution and the Nature of Science ».

  9. Chapitre 9 : les organismes vivants ont des quantités encyclopédiques d’information complexe et spécifique codées dans l’ADN. Ce qui est intéressant, c’est qu’il s’agit là précisément du critère qui prouverait éventuellement qu’un signal venu de l’espace aurait une source intelligente. L’ADN lui-même est le système de stockage et de récupération de données le plus efficace de l’univers. L’information qu’il contient est l’épure de toutes les enzymes requises par le vivant, et la recette qui permet de construire les organes complexes nécessaires. Certains de ceux-ci incluent les sonars des dauphins et des chauves-souris, ainsi que les moteurs miniatures qui font marcher le flagelle bactérien ou la machinerie qui sert à fabriquer la molécule d’ATP. Ces derniers sont bien plus complexes que tout ce que les humains ont bien pu élaborer. D’autres structures ont inspiré les inventions humaines ; par exemple, l’œil du homard a inspiré la conception d’un télescope à rayons X. Enfin, il a été démontré que l’explication par la conception est légitime, et que la seule raison de la rejeter est une foi a priori en le matérialisme.


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