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Table des matières

Refuting Evolution

Index

Avant-propos et introduction

Chapitre 1

Les faits et les préjugés
Voir le Guide d’études, leçon 1

Chapitre 2

Variation et Sélection naturelle vs évolution
Voir le Guide d’études, leçon 2

Chapitre 3

Les chaînons manquent
Voir le Guide d’études, leçon 3

Chapitre 4

L’évolution des oiseaux ?
Voir le Guide d’études, leçon 4

Chapitre 5

L’évolution des baleines ?
Voir le Guide d’études, leçon 5

Chapitre 6

Les humains : images de Dieu ou singes savants ?
Voir le Guide d’études, leçon 6

Chapitre 7

L’astronomie
Voir le Guide d’études, leçon 7

Chapitre 8

Quel âge a la Terre ?
Voir le Guide d’études, leçon 8

Chapitre 9

L’explication par la conception est-elle légitime ?
Voir le Guide d’études, leçon 9

Chapitre 10

Conclusion

L’évolution réfutée, chapitre 6

Un manuel à destination des étudiants, des parents et des enseignants contrant les derniers arguments en faveur de la théorie de l’évolution

par , Ph.D., F.M.
Traduit par Narindra Ramanankasaina

Les humains : images de Dieu ou singes savants ?

Publié pour la première fois dans « Refuting Evolution », Chapitre 6

Les humains sont très différents des animaux, en particulier dans leur capacité à utiliser le langage et la logique. « Teaching about Evolution and the Nature of Science » montre au lecteur un certain nombre de contrastes entre les humains et les singes à la page 83. Mais il endoctrine de force les lecteurs dans l’idée que les humains descendent d’une simple cellule via des ancêtres simiens.1 Les arguments utilisés impliquent de prétendus hommes-singes et des similitudes au niveau de l’ADN. Ce chapitre analyse le registre fossile et discute aussi de la grande différence en information génétique entre les singes et les humains.

Les hommes-singes fossiles

Les fossiles d’hommes-singes les mieux connus sont les australopithèques (les « singes du sud »), aujourd’hui éteints. « Teaching about Evolution and the Nature of Science », en page 20, affiche l’illustration d’une série de cinq crânes : Australopithecus afarensis (« Lucy »), Australopithecus africanus, un des premiers Homo, Homo erectus et Homo sapiens (l’homme moderne). Toutefois, plusieurs évolutionnistes ne sont pas d’accord avec cette image. Par exemple, Donald Johanson, le découvreur de « Lucy », place Australopithecus africanus sur une branche divergente qui n’aboutit pas à l’homme.2 L’anatomiste Charles Oxnard a fait une analyse détaillée de différents os d’Australopithecus africanus et en a conclu qu’il ne marchait pas debout à la manière humaine et qu’il était plus distinct et des humains et des chimpanzés que ceux-ci ne le sont l’un de l’autre.3 Plus récemment, Oxnard a fait les commentaires suivants sur les australopithèques, « Lucy » y comprise :

Il est désormais généralement admis que les australopithèques n’étaient pas structurellement proches des humains, qu’ils devaient vivre au moins en partie dans des environnements arborés et que plusieurs des spécimens les plus récents étaient contemporains [vivaient à la même époque] ou presque des premiers membres du genre Homo.4

Oxnard, un évolutionniste, est un expert parmi plusieurs qui ne croient pas qu’aucun des australopithèques ait fait partie de la généalogie humaine.

Les humains ont toujours été des humains

Marvin Lubenow, dans « Bones of Contention », met aussi en évidence que les différents prétendus hommes-singes ne forment pas une séquence lisse dans les « ères » de l’évolution mais se chevauchent considérablement. Il fait aussi remarquer que les diverses découvertes sont soit des variétés de vrais humains (par ex. des hommes de Néanderthal, des Homo erectus…), soit des non-humains comme les australopithèques, qui devaient probablement inclure les soi-disant Homo habilis. Il y a plusieurs sources de données en faveur de cela :

  • L’analyse de l’ADN mitochondrial5 du squelette d’un homme de Néanderthal a permis de découvrir que la séquence différait de celle des humains modernes en 22 à 36 endroits, tandis que les différences entre les humains modernes sont de 1 à 24 endroits.6 En dépit de certaines affirmations statistiquement invalides selon lesquelles cela fait des hommes de Néanderthal une espèce distincte, les différences restent dans la gamme des humains modernes.7 De plus, l’ADN est rapidement décomposé par l’eau et l’oxygène, alors sous des conditions favorables, il pourrait durer quelques dizaines de milliers d’années maximum.8 Cela soulève de sérieuses questions sur l’« âge » de cent mille ans que certains scientifiques ont assigné à ce squelette.

  • L’analyse aux rayons X des canaux semicirculaires d’un certain nombre de crânes d’hommes-singes ont démontré que ceux des Homo erectus étaient similaires à ceux des humains modernes, ce qui signifie qu’ils marchaient debout. Mais ceux d’Australopithecus africanus et d’Australopithecus robustus étaienvt comme ceux des grands singes. Cela montre qu’ils ne marchaient pas debout comme les humains, mais qu’ils devaient être principalement arboricoles.9 « Homo habilis » s’est avéré encore moins « bipède » que les australopithèques.

Les similitudes entre les singes et les humains ?

« Teaching about Evolution and the Nature of Science » souligne les similitudes physiques, notamment génomiques, entre les humains et d’autres organismes vivants, et c’est censé constituer une preuve en faveur de la théorie de l’évolution. Toutefois, encore une fois, il ne s’agit pas là d’une découverte directe, mais d’une interprétation des données.

Un concepteur commun est une autre interprétation qui permet d’expliquer les mêmes données. Un architecte utilise en général les mêmes matériaux de construction pour faire des bâtiments différents, et un fabricant de voitures utilise en général les mêmes pièces pour faire des voitures différentes. Nous ne devrions donc pas être surpris si le Concepteur de la vie a utilisé la même biochimie et les mêmes structures chez plusieurs créatures différentes. À l’inverse, si tous les organismes étaient totalement différents, cela pourrait donner l’impression qu’il y a plusieurs concepteurs au lieu d’un.

Une autre bonne chose au sujet d’une biochimie commune, c’est que nous pouvons obtenir notre nutrition à partir d’autres êtres vivants. Nos systèmes digestifs peuvent décomposer la nourriture en ses éléments de base, qui sont ensuite utilisés soit comme carburant, soit pour en faire nos propres éléments de base.

Comme l’ADN contient le codage des structures et des molécules biochimiques, nous pouvons nous attendre à ce que les créatures les plus similaires aient l’ADN le plus similaire. Et les singes et les humains sont des mammifères, avec des formes similaires, ils ont donc un ADN similaire. Nous pouvons nous attendre à ce que les humains aient plus de similitudes génétiques avec un autre animal comme le cochon plutôt qu’avec un reptile comme le serpent à sonnette. Et c’est le cas. Les humains sont très différents des levures mais ont de la biochimie en commun, nous pouvons donc nous attendre à ce que l’ADN humain et celui de la levure ne soient que légèrement similaires.

Le motif général des similitudes n’a donc pas besoin de s’expliquer nécessairement par une évolution à partir d’un ancêtre commun. Qui plus est, il y a quelques anomalies effarantes qui viennent se mettre en travers d’une explication évolutionniste : des similitudes entre des organismes que les évolutionnistes ne croient pas étroitement apparentés. Par exemple, l’hémoglobine, la molécule complexe qui transporte l’oxygène dans le sang et lui donne sa couleur rouge, se retrouve chez les vertébrés. Mais on la retrouve aussi chez certains vers de terre, étoiles de mer, crustacés, mollusques et même chez certaines bactéries. L’hémoglobine alpha des crocodiles ressemble plus à celle des poules (17,5 %) que celle des vipères (5,6 %), des reptiles comme eux.10 Un certain récepteur antigénique a la même structure à chaîne simple inhabituelle chez les chameaux et les requins-nourrices, mais cela ne peut s’expliquer par un ancêtre commun des requins-nourrices et des chameaux.11

Les similitudes entre les ADN de l’humain et du singe sont souvent exagérées. Le nombre correspondant n’a pas été obtenu à partir d’une comparaison directe des séquences. Au lieu de cela, l’étude d’origine12 a inféré 97 % de similitude entre les ADN de l’humain et du chimpanzé à partir d’une technique plutôt grossière appelée hybridation de l’ADN. Avec cette technique, des brins monocaténaires d’ADN ont été combinés avec de l’ADN de chimpanzés et d’autres singes. Toutefois, d’autres choses, en plus de la similitude, affectent le degré d’hybridation.

En fait, même si nous admettions que ce degré d’hybridation serait entièrement corrélé à la similitude, il y a des défauts. Quand des statistiques convenables sont appliquées aux données,13 elles mettent en évidence que les humains et les chimpanzés n’ont qu’environ 96 % de similitude. Mais nous entendons fréquemment parler de nombres plus grands en circulation : la prétendue similitude fait boule de neige !

Un argument souvent négligé consiste en de grandes différences entre les diverses sortes de créatures qui existent. Chaque créature détient une quantité encyclopédique d’information génétique, alors même un faible pourcentage de différence signifie que beaucoup d’information aurait été requise pour transformer un genre de créature en un autre. Comme les humains ont une quantité d’information équivalente à mille livres de cinq cents pages, une différence de 4 % revient à quarante de ceux-ci (et ce, encore une fois, même si nous acceptons que les données de l’hybridation sont vraiment corrélées à la similitude des séquences de gènes).

Autrement dit, les mutations aléatoires plus la sélection naturelle sont censés produire une information équivalente à douze millions de mots arrangés en une séquence dotée de sens. C’est une impossibilité, même si nous accordions aux évolutionnistes les dix millions d’années qu’ils soutiennent. Des calculs basés sur la génétique des populations démontrent que les animaux dont une génération dure vingt ans, à peu près comme les humains, ne peuvent pas substituer plus de mille sept cents mutations environ en ce laps de temps.14

Les similitudes au niveau des embryons ?

« Teaching about Evolution and the Nature of Science » affirme en page 1 :

Lorsque les organismes passent du stade d’ovocytes fécondés à celui d’embryons, ils passent par plusieurs étapes développementales similaires.

« Teaching about Evolution and the Nature of Science » ne contient pas de dessin d’embryon. Toutefois, plusieurs livres évolutionnistes contiennent des dessins qui voudraient nous faire croire que les embryons sont très similaires en apparence. Ils sont basés sur les diagrammes d’embryons faits en 1874 par Ernst Hæckel, le promoteur de Darwin en Allemagne, dont les idées évolutionnistes ont joué un rôle primordial dans l’avénement ultérieur du nazisme. Toutefois, en 1997, une étude détaillée, par Mike Richardson et son équipe,15 comprenant de vrais photographies d’un grand nombre d’embryons différents, a mis en évidence que les embryons de différentes espèces sont très différents (cf. illustration ci-dessous).

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Rangée du haut : Dessins par Hæckel de plusieurs embryons différents, montrant une incroyable similitude au stade précoce du « tétard ».
Rangée du bas : Photographies par Richardson18 de ce à quoi les embryons ressemblent réellement au même stade. [En partant de la gauche : Salmo salar (saumon de l’Atlantique), Cryptobranchus alleganiensis (salamandre-alligator), Emys orbicularis (tortue de Brenne), Gallus gallus (poule), Oryctolagus cuniculus (lapin de garenne), Homo sapiens (homme)] Beaucoup d’évolutionnistes modernes n’affirment plus que l’embryon humain récapitule les étapes adultes de ses ancêtres évolutifs, mais mettent l’accent sur les dessins de Hæckel (rangée du haut) pour affirmer qu’il récapitule les étapes embryonnaires. Toutefois, même ce prétendu soutien de la théorie de l’évolution s’est avéré basé sur des dessins falsifiés.

Ainsi, le seul moyen pour que Hæckel ait pu les dessiner si similaires est la fraude. Cette étude a été largement publiée dans les journaux scientifiques16 et les médias laïques, alors un livre publié en 1998 n’a aucune excuse pour ne pas tenir compte du fait que l’idée de similitudes embryoniques extensives est obsolète et basée sur une fraude.17

Plus récemment, Richardson et son équipe ont confirmé dans une lettre au journal Science qu’ils croient toujours en l’évolution, et que les dissemblances marquées sont en cohérence avec.19 Mais cela est en contradiction avec la prédiction habituelle des manuels20, basée sur le darwinisme, que le développement de l’embryon est censé passer par des stades similaires à ceux illustrés par les dessins falsifiés de Hæckel. Si la théorie de l’évolution prédit à la fois des similitudes et des différences, alors elle ne prédit pas vraiment quoi que ce soit au final ! Sur la base de la lettre de Richardson, les évolutionnistes ont affirmé qu’il croit bel et bien que Hæckel « avait raison en gros ».21 Mais Richardson a confirmé dans une lettre ultérieure à Science :

La question scientifique centrale reste la même : les dessins de Hæckel de 1874 sont montés de toutes pièces. Dans ce sens, je ferai remarquer que sa plus ancienne image de « poisson » est faite de morceaux et des parties d’animaux différents – dont certains mythiques. Il n’est pas déraisonnable de qualifier cela de « canular ». … Hélas, ce sont ces mêmes dessins discrédités de 1874 qui sont utilisés aujourd’hui dans tant de manuels de biologie britanniques et américains aujourd’hui.22

Une bonne partie de la fraude embryonnaire de Hæckel a été publiée dans le magazine « Creation ».23

L’Ève mitochondriale

« Teaching about Evolution and the Nature of Science » dit en page 19 :

Selon de récents éléments de preuve – basés sur le séquençage de l’ADN dans une partie de la cellule humaine appelée mitochondrie – on a proposé qu’une petite population d’humains modernes a évolué en Afrique il y a environ cent cinquante mille ans et s’est repandue à travers le monde, remplaçant les populations archaïques d’Homo Sapiens.

Cet élément de preuve est en rapport avec l’ADN de la mitochondrie. Celui-ci n’est hérité que de la mère. Les similitudes indiquent que tout le monde sur Terre descend d’une unique humaine. Même les évolutionnistes l’ont appelée « l’Ève mitochondriale ».

Bien que cela coïncide avec le récit biblique, nous devrions remarquer que ce n’est pas une preuve. Les évolutionnistes soutiennent que « l’Ève mitochondriale » n’était qu’une femme parmi plusieurs qui vivaient à l’époque. Les lignées mitochondriales des autres femmes auraient pu s’éteindre s’il n’y avait eu que des mâles dans une génération de descendants quelconque.

Les évolutionnistes croyaient qu’ils détenaient une preuve claire contre le récit biblique, parce que « l’Ève mitochondriale » vivait il y a censément deux cent mille ans. Toutefois, des éléments de preuve récents mettent en évidence que l’ADN mitochondrial mute beaucoup plus vite que ce que l’on pensait précédemment.24 Si ces nouveaux éléments de preuve sont appliqués à l’« l’Ève mitochondriale », ils indiquent qu’elle aurait vécu ’à peine six mille à six mille cinq cents ans de cela.25 Bien sûr, c’est en parfaite cohérence avec l’âge biblique de la « mère de tous les vivants » (Gen. 3:20),26 mais une énigme pour les croyants en la théorie de l’évolution et en un univers âgé de n milliards d’années.

De manière intéressante, il existe un parallèle du côté masculin : les éléments de preuve obtenus à partir du chromosome Y coïncident avec l’idée que tout le monde descend d’un unique homme.27 Les données correspondantes sont aussi en cohérence avec une date récente pour cet « Adam Y-chromosomal ».28

Conclusion

« Teaching about Evolution and the Nature of Science » cherche à endoctriner les étudiants dans la croyance qu’ils sont des animaux évolués et, au final, rien de plus dans les faits qu’un réarrangement de la matière au petit bonheur la chance. Un rédacteur-en-chef du journal « Scientific American » a fait ce commentaire inspirant :

Oui, nous sommes tous des animaux, descendants d’une longue lignée de réplicants surgis de la fange primordiale.29

Ce à quoi cela mène est affiché avec à-propos par ce dialogue entre deux évolutionnistes. Lanier est un informaticien, Dawkins un professeur à Oxford et un fervent athée et darwiniste :

Jaron Lanier : « Il y a un grand nombre de personnes purement et simplement mal à l’aise à l’idée d’accepter la théorie de l’évolution, parce qu’elle mène à ce qu’elles perçoivent comme un vide moral, où leurs meilleures impulsions n’ont aucun fondement dans la nature. »

Richard Dawkins : « Je ne peux dire qu’une chose : “Tant pis.” Nous devons voir la vérité en face. »30

Références et notes

  1. « Teaching about Evolution and the Nature of Science » se plie en quatre pour « mettre en lumière l’idée erronée que les humains auraient évolué à partir des singes », faisant remarquer que les évolutionnistes ont la conviction qu’humains et singes partagent un ancêtre commun (pp. 57, 62 et 83). Toutefois, un paléontologue évolutionniste de premier plan (et agnostique de son propre aveu), G. G. Simpson (1902–1984), a appelé cette sorte de pédantisme du « tournement autour du pot ». Il a écrit : « En fait, ce premier ancêtre aurait certainement été appelé un singe en langage populaire par n’importe quelle personne qui l’aurait vue. Comme le terme de singe est défini par l’usage populaire, les ancêtres de l’homme étaient des singes. C’est puillanime [lâche], voire malhonnête pour un chercheur bien informé de dire le contraire. » The World into Which Darwin Led Us, Science 131(3405):966–969, 1er avril 1960 | doi: 10.1126/science.131.3405.966. Revenir au texte.
  2. D. Johanson et T. D. White, Science 203:321, 1979 ; 207:1104, 1980. Revenir au texte.
  3. C. E. Oxnard, Nature 258:389–395, 1975. Revenir au texte.
  4. C. E. Oxnard, The Order of Man (New Haven, Connecticut : presses de l’université de Yale, 1984). Revenir au texte.
  5. Les mitochondries sont des structures à l’intérieur des cellules qui ont une part à la production de l’énergie. Elles ont leurs propres gènes, transmis de mère en fille avec des mutations à l’occasion. Revenir au texte.
  6. Un groupe mené par Svante Pääbo a analysé une séquence de trois cent soixante-dix-neuf unités (sachant qu’il y a un total de seize mille cinq cents paires de bases dans un brin intact d’ADN mitochondrial humain) venant de l’humérus d’un homme de Néandertal censément âgé d’entre trente mille et cent mille ans. M. Krings, A. Stone, R. W. Schmitz, H. Krainitzki, M. Stoneking et S. Pääbo, Neandertal DNA Sequences and the Origin of Modern Humans, Cell 90:19–30, 1997. Revenir au texte.
  7. M. Lubenow, Recovery of Neandertal mtDNA: an evaluation, Journal of Creation 12(1):87–97, 1998. Revenir au texte.
  8. T. Lindahl, Instability and decay of the primary structure of DNA, Nature 362(6422):709–715, 1993. Pääbo lui-même a découvert que les fragments d’ADN se décomposent quelques heures après la mort en chaînes d’entre cent et deux cents unités de long, que l’eau suffirait à complètement décomposer l’ADN en cinquante mille ans et que le rayonnement de fond finirait par effacer l’information génétique même sans eau et oxygène : Ancient DNA, Scientific American 269(5):60–66, 1993. Revenir au texte.
  9. F. Spoor, B. Wood et F. Zonneveld, Implications of early hominid morphology for evolution of human bipedal locomotion, Nature 369(6482):645–648, 1994. Revenir au texte.
  10. H. M. Morris et G. E. Parker, What is Creation Science? (Green Forest, Arizona : Master Books, 1987), p. 52–61. Cf. aussi M. Denton, Evolution: A Theory in Crisis, (Chevy Chase, MD: Adler and Adler, 1986), chapitres 7 et 12. Revenir au texte.
  11. Proceedings of the National Academy of Sciences 95:11, 804 ; in New Scientist 160(2154):23, 3 octobre 1998. Revenir au texte.
  12. C. G. Sibley et J. E. Ahlquist, DNA Hybridization evidence of hominoid phylogeny: results from an expanded data set, Journal of Molecular Evolution 26:99–121, 1987. Revenir au texte.
  13. D. J. Batten, Human/chimp DNA similarity: Evidence for evolutionary relationship? Creation 19(1):21–22, décembre 1996–février 1997. Cet article contient nombre d’importantes informations sur le sujet. Revenir au texte.
  14. Traité brièvement au chapitre 5 ; pour des détails complets, cf. W. J. ReMine, The Biotic Message (Saint Paul, Michigan : Saint Paul Science, 1993), chapitre 8. Revenir au texte.
  15. M. K. Richardson et al., There is no highly conserved embryonic stage in the vertebrates: Implications for current theories of evolution and development, Anatomy and Embryology 196(2):91–106, 1997. Revenir au texte.
  16. E. Pennisi, Haeckel’s embryos: Fraud rediscovered, Science 277(5331):1435, 5 septembre 1997 ; Embryonic fraud lives on, New Scientist 155(2098):23, 6 septembre 1997. Revenir au texte.
  17. Il existe une théorie en rapport, celle de la récapitulation, ou « l’ontogenèse récapitule la phylogenèse », qui prétend que les embryons passent par des stages représentatifs de leur ascendance évolutive. Elle a été minutieusement discréditée il y a plusieurs décennies et aucun évolutionniste bien informé n’utilise cette « preuve ». En particulier, jamais aucune « fente branchiale » ne se forme chez les embryons de mammifères ; au lieu de cela, des des structures nommées arcs pharyngés (de la gorge) se forment et elles n’ont rien à voir avec la respiration. Cette idée était basée sur d’autres diagrammes falsifiés d’embryons par Hæckel. Revenir au texte.
  18. Les photos d’embryons utilisées dans cet article ont été aimablement fournies par le Pr. Michael K. Richardson. Elles sont apparues à l’origine dans : M. K. Richardson et al., note 15, © Springer-Verlag GmbH & Co., Tiergartenstrasse, 69121 Heidelberg, Germany. Reproduit avec permission. Revenir au texte.
  19. M. K. Richardson et al., Haeckel, embryos, and evolution, lettre à Science 280(5366):983–986, 15 mai 1998. Revenir au texte.
  20. B. Alberts et al., Molecular Biology of the Cell, (New-York : Garland, 1994), p. 32–33. Revenir au texte.
  21. Par ex., le prétentieusement nommé National Center for Science Education (Centre National pour l’Instruction à la Science), l’organisation américaine de premier plan vouée entièrement à la propagande évolutionniste – NCSE Reports 17(6):14, officiellement datée en novembre-décembre 1997. Revenir au texte.
  22. M. K. Richardson, Haeckel’s embryos, continued, lettre à Science 281(5381):1289, 28 août 1998. Revenir au texte.
  23. R. Grigg, Du nouveau sur la fraude d’Hæckel, Creation 20(2):49–51, 1998 ; voir aussi R. Grigg, Ernst Haeckel: evangelist for evolution and apostle of deceit, Creation 18(2):33–36, 1996, qui documente d’autres fraudes connues de Hæckel. Revenir au texte.
  24. T. J. Parsons et al., A high observed substitution rate in the human mitochondrial DNA control region, Nature Genetics 15:363–368, 1997. Revenir au texte.
  25. L. Loewe et S. Scherer, Mitochondrial Eve: The plot thickens, Trends in Ecology and Evolution 12(11):422–423, 1997; A. Gibbons, Calibrating the mitochondrial clock, Science 279(5347):28–29, 1998. Revenir au texte.
  26. C. Wieland, A shrinking date for ‘Eve’, Journal of Creation 12(1):1–3, 1998. Revenir au texte.
  27. R. L. Dorit, Hiroshi Akashi et W. Gilbert, Absence of polymorphism at the ZFY locus on the human Y-chromosome, Science 268(5214):1183–1185, 26 mai 1995 ; perspective dans le même numéro par S. Pääbo, The Y-chromosome and the origin of all of us (men), p. 1141–1142. Revenir au texte.
  28. D. J. Batten, Y-chromosome Adam? Journal of Creation 9(2):139–140, 1995. Revenir au texte.
  29. J. Horgan, The new social Darwinists, Scientific American 273(4):150–157, octobre 1995 ; citation en p. 151. Revenir au texte.
  30. Evolution: the dissent of Darwin, Psychology Today, janvier/février-1997, p. 62. Revenir au texte.

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