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Table des matières

Unité 1

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Chapitre 1Ar­gu­ment : Le créa­tion­nisme est de la religion, pas de la science


Chapitre 2Ar­gu­ment : théorie de l’évolution et foi chrétienne sont compatibles


Chapitre 3Argument : La théorie de l’évolution est de la vraie science, et pas « juste une théorie »


Unité 2

Chapitre 4Argument : La sélection naturelle mène à la spéciation


Chapitre 5Argument : Certaines mutations sont bénéfiques


Chapitre 6Argument : La conception commune indique un ancêtre commun


Chapitre 7Argument : La « conception défectueuse » constitue un vestige de l’évolution


Chapitre 8Argument : Le registre fossile soutient la théorie de l’évolution


Unité 3

Chapitre 9Argument : Probabilité de l’évolution


Chapitre 10Argument : La « complexité irréductible »


Chapitre 11Argument : L’évolution du sexe


Chapitre 12Argument : L’évolution de l’humanité


Annexe 1Arguments courants en faveur de la théorie de l’évolution qui ont été rejetés


Annexe 2Arguments courants en faveur de la création à ne pas utiliser

« L’Évolution réfutée II » : chapitre 7

La suite de « L’Évolution réfutée » infirme les derniers arguments en faveur de la théorie de l’évolution (tels que présentés par PBS et Scientific American).

par , avec Michael Matthews
Traduit par Narindra Ramanankasaina

Argument : « La “conception défectueuse” constitue un vestige de l’évolution »

Les évolutionnistes disent : « Des études ont révélé d’étonnantes similitudes dans l’ADN et les systèmes biologiques, preuve solide que la vie sur Terre a un ancêtre commun. »

Publié pour la première fois dans « Refuting Evolution 2 », chapitre 7.

L’œil à l’envers, un exemple de mauvaise conception ?

Kenneth Miller, l’évolutionniste catholique qui figure en bonne place dans PBS 1, affirme que l’œil présente de « profondes imperfections optiques » et qu’il témoigne donc d’un « bidouillage » et d’une sélection naturelle « à l’aveugle ». Miller n’a pas présenté d’argument en faveur de la théorie de l’évolution en tant que telle – car il ne présente pas de méthode progressive d’évolution de la rétine – mais nous avons là une attaque pure et simple contre le Concepteur. Ce qui représente aussi, bien sûr, une attaque contre la version darwinienne de « Dieu » de Miller, qui a choisi de créer de manière indirecte (par le biais de l’évolution).

Miller a soulevé le vieux bobard de la rétine des vertébrés câblée à l’envers, comme il l’a fait ailleurs. Le narrateur a même affirmé que « les nerfs de l’œil interfèrent avec les images » et que le soi-disant « angle mort » résultant pose un sérieux problème. Mais ces arguments ont déjà trouvé réfutation, comme démontré ci-dessous.

On aimerait que les créationnistophobes apprennent quelque chose sur l’œil avant de faire de telles affirmations (Miller ne possède pas de qualifications en optique physique, ni en anatomie de l’œil), ou même qu’ils démontrent que l’œil fonctionne mal à cause de cela. En fait, tout ingénieur qui concevrait quelque chose de vaguement aussi bon que l’œil obtiendrait sans doute un prix Nobel ! Si Miller et les producteurs de PBS pensent le contraire, je les mets au défi de concevoir un meilleur œil, doté de toute la polyvalence de celui des vertébrés (perception des couleurs, résolution, adaptation à la gamme d’intensité de la lumière, vision nocturne et vision diurne etc.) Et cela doit se faire dans le cadre des contraintes du développement embryonnaire.

La rétine peut détecter un unique photon de lumière ; impossible de faire mieux en termes de sensibilité ! De plus, elle dispose d’une gamme dynamique de 10 milliards (1010) pour un, c’est-à-dire qu’elle fonctionnera encore bien dans une intensité de 10 milliards de photons. Les pellicules photographiques modernes ont une plage dynamique d’à peine 1 000 pour un. Même les équipements de spécialistes ne peuvent approcher de la gamme dynamique de l’œil, et j’ai une expérience considérable des photomultiplicateurs ultrasensibles de pointe. Ma thèse de doctorat et les articles que j’ai publiés dans des revues spécialisées portent en grande partie sur une technique appelée spectroscopie Raman, qui analyse une diffraction extrêmement faible à une fréquence légèrement différente de celle du rayonnement laser incident. Le principal risque pour les spectroscopes Raman réside dans le balayage à la fréquence incidente - la diffusion de Rayleigh encore faible à la même fréquence ferait exploser le photomultiplicateur (les modèles les plus récents comportent un dispositif d’arrêt automatique). Je n’ai réussi à balayer en toute sécurité la ligne de Rayleigh (pour l’étalonnage) qu’en utilisant des filtres pour atténuer l’intensité de la lumière entrant dans le photomultiplicateur d’un facteur de 10-7 à 10-8. Mais devoir prendre une précaution aussi extrême m’a rendu envieux et admiratif de la brillance de la conception de l’œil, capable de faire face à une gamme d’intensités beaucoup plus large.

Le traitement du signal avant même la transmission de l’information au cerveau, dans les couches rétiniennes entre les cellules ganglionnaires et les photorécepteurs, nous offre une autre caractéristique étonnante de la rétine. Par exemple, un processus appelé extraction des bords améliore la reconnaissance des bords des objets. Le Dr. John Stevens, agrégé de physiologie et d’ingénierie biomédicale, a fait remarquer qu’il faudrait « au moins cent ans de Cray [un superordinateur] pour simuler ce qui se passe dans votre œil plusieurs fois par seconde. »1 Le calcul analogique de la rétine nécessite beaucoup moins d’énergie que les superordinateurs numériques, et il fait montre d’une simplicité élégante. Une fois de plus, l’œil surpasse toute technologie humaine, mais cette fois dans un autre domaine.

Le Dr George Marshall, ophtalmologiste, lui, connaît bien la conception de l’œil et a déclaré :

L’idée que l’œil est câblé à l’envers provient d’un manque de connaissance du fonctionnement et de l’anatomie de l’œil.

Il a expliqué que les nerfs ne peuvent passer derrière l’œil, car cet espace est réservé à la choroïde, qui fournit le sang nécessaire à l’épithélium pigmentaire rétinien, très actif sur le plan métabolique. Il le faut pour régénérer les photorécepteurs et absorber l’excès de chaleur. Il s’avère donc nécessaire que les nerfs passent devant. L’affirmation de l’émission selon laquelle ils interfèrent avec l’image ne tient pas debout, car les nerfs en question ont une transparence quasi totale, grâce à leur petite taille et à un indice de réfraction à peu près identique à celui de l’humeur vitrée environnante. En fait, ce qui limite la résolution de l’œil, c’est la diffraction des ondes lumineuses au niveau de la pupille (proportionnelle à la longueur d’onde et en raison inverse de la taille de la pupille), de sorte que les améliorations de la rétine proposées ne feraient aucune différence.

Remarques importantes : la conception « supérieure » de Miller, avec des nerfs (virtuellement transparents) derrière les photorécepteurs, nécessiterait l’un ou l’autre des éléments suivants :

  • La choroïde devant la rétine – mais la choroïde est opaque à cause de tous ses globules rouges, de sorte que cette conception aurait l’utilité d’un œil hémorragique !

  • Des photorécepteurs pas du tout en contact avec l’épithélium pigmentaire rétinien et la choroïde – mais les photorécepteurs mettraient du temps à se régénérer, de sorte qu’il faudrait probablement des mois avant que nous puissions conduire après avoir été photographiés au flash.

Certains évolutionnistes prétendent que l’œil des céphalopodes serait en quelque sorte « correct  », c’est-à-dire avec les nerfs derrière le récepteur, et l’émission a produit des photographies de ces créatures (pieuvre, calmar) pendant ce segment. Mais aucune personne ayant pris la peine d’étudier ces yeux ne pourrait faire de telles affirmations en toute intégrité. En fait, les céphalopodes ne voient pas aussi bien que les humains, et la structure de l’œil de la pieuvre est totalement différente et bien plus simple. Il s’agit plutôt d’un « œil composé avec une seule facette ».

L’ophtalmologiste Peter Gurney répond en détail à la question « La rétine inversée relève-t-elle vraiment d’une “mauvaise conception” ? »2 Il aborde l’affirmation selon laquelle l’angle mort tient d’une mauvaise conception : celui-ci n’occupe que 0,25 % du champ visuel et il est éloigné (15 °) de l’axe visuel, de sorte que l’acuité visuelle de la région ne correspond qu’à environ 15 % de la fovéola, la zone la plus sensible de la rétine, située sur l’axe visuel. Le défaut allégué reste donc du domaine du théorique. L’angle mort n’est pas considéré comme un handicap suffisant pour empêcher un borgne de conduire un véhicule privé. Le principal problème des borgnes réside dans l’absence de vision stéréoscopique.

L’émission affirme en outre que la rétine est mal conçue car elle peut se détacher et provoquer la cécité. Mais cela ne se produit pas chez la grande majorité des gens, ce qui indique que la conception est encore pas mal. En fait, le décollement de la rétine tient plutôt au fait que l’humeur vitreuse se liquéfie avec l’âge, alors qu’elle constitue en temps normal un gel assez rigide. Le gel restant se détache alors de la rétine, laissant de minuscules trous, de sorte que l’autre humeur liquéfiée peut se décoller de la rétine. Un traitement récemment mis au point consiste donc à drainer le liquide et à injecter du gel de silicone magnétisé, que l’on peut mettre en place à l’aide d’un champ magnétique, pour repousser la rétine et obstruer les trous.3 Les défaillances occasionnelles de l’œil avec l’âge reflètent le fait que nous vivons dans un monde déchu, de sorte que ce que nous observons aujourd’hui peut provenir d’une dégradation par rapport à la perfection physique d’origine, dans lequel, par exemple, la détérioration due à l’âge ne se produisait pas.

Pour répondre à d’autres arguments de « mauvaise conception », il convient de prendre en compte deux principes :

  1. Disposons-nous de toutes les informations et connaissances sur la question ?

  2. Ce système biologique particulier aurait-il pu se dégrader depuis la Chute ?

Des arguments évolutionnistes similaires servent à dénigrer les organes dits vestigiaux (voir l’annexe), le pouce du panda et l’ADN non fonctionnel (souvent appelé « ADN poubelle » – NdT).

Le « pouce » du panda

Les évolutionnistes ont longtemps cité le « pouce » du panda, d’apparence maladroite, comme preuve de l’évolution plutôt que de conception intelligente. Gould a même écrit en 1980 un livre intitulé « The Panda’s Thumb: More Reflections in Natural History » (« Le Pouce du Panda : d’Autres Réflexions sur l’Histoire Naturelle » – NdT), dans lequel il affirme que le pouce du panda « ne gagnerait pas de prix dans un concours d’ingénieurs. »4

Pourtant, à y regarder de plus près, la conception du panda n’a rien de maladroit.5 Au contraire, le « pouce » fait partie d’une structure de préhension élaborée et efficace qui permet au panda d’enlever les feuilles des pousses de bambou.6

Affirmer que le pouce du panda tiendrait du « bidule  » non conçu revient à jeter de la poudre aux yeux pour détourner l’attention de la véritable question : la théorie de l’évolution n’explique tout simplement pas comment la vie a pu passer du poisson au panda.

L’ADN « non fonctionnel »

Chaque fois que les évolutionnistes découvrent de nouvelles sections d’ADN dénuées de fonction connue, ils se plaisent à les qualifier d’ADN « non fonctionnel », vestige de l’évolution. Par exemple, l’ADN des organismes plus complexes que les bactéries contient des régions appelées exons qui codent pour des protéines, et des régions non codantes appelées introns. Ceux-ci sont donc éliminés et les exons « épissés » pour former l’ARNm (ARN messager), lui-même décodé pour former la protéine. Cette opération nécessite aussi un mécanisme élaboré appelé « épissosome ». Ce dernier s’assemble sur l’intron, le sectionne au bon endroit et relie les exons entre eux. Cela doit s’effectuer dans la bonne direction et au bon endroit, car cela fait une énorme différence si une seule lettre de l’exon n’est pas jointe.

Mais il est absurde, même de prime abord, que des organismes plus complexes aient développé une machinerie aussi élaborée pour épisser les introns s’ils étaient vraiment inutiles. La sélection naturelle favoriserait plutôt les organismes qui n’ont pas à gaspiller leurs ressources pour traiter un génome rempli à 98 % de « déchets ». De plus, on a découvert de nombreuses fonctionnalités à l’ADN non fonctionnel, telles que la structuration globale du génome et la régulation des gènes, ainsi que d’autres pour permettre une diversification rapide après le Déluge.7 En outre, les dommages causés aux introns peuvent s’avérer désastreux : par exemple, la suppression de quatre « lettres » au centre d’un intron a empêché l’épissosome de s’y lier, ce qui a eu pour effet d’inclure l’intron dans le génome.8 Les mutations dans les introns interfèrent avec l’empreinte génomique, le processus par lequel seuls certains gènes maternels ou paternels se retrouvent exprimés plutôt que ceux des deux. L’expression des deux gènes entraîne une variété de maladies et de cancers.9

Le Pr John Mattick, de l’université du Queensland à Brisbane, en Australie, a publié un certain nombre d’articles affirmant que les régions d’ADN non codantes, ou plutôt leurs « négatifs » d’ARN non codants, jouent un rôle important dans le cadre d’un réseau génétique complexe.10 Celles-ci interagissent entre elles, avec l’ADN, l’ARNm et les protéines. Mattick propose que les introns fonctionnent comme des nœuds, des points de liaison dans un réseau. Les introns fournissent de nombreuses connexions supplémentaires pour permettre ce que l’on appellerait, en informatique, le traitement multitâche et parallèle.

Dans le cas du vivant, cela pourrait contrôler l’ordre d’activation et de désactivation des gènes. Cela signifie la possibilité de produire une énorme variété de vie multicellulaire par recâblage du réseau. En revanche, « les premiers ordinateurs fonctionnaient comme des organismes simples, très intelligemment conçus mais programmés pour une seule tâche à la fois. »11 Les anciens ordinateurs, très rigides, nécessitaient une refonte complète du réseau pour changer quoi que ce soit. De même, les organismes unicellulaires tels que les bactéries peuvent se permettre la rigidité, car ils n’ont pas à se développer à partir d’embryons comme le font les créatures pluricellulaires.

Mattick suggère que ce nouveau système a évolué d’une manière ou d’une autre (malgré sa complexité irréductible) et qu’il a permis l’évolution de nombreux êtres vivants complexes à partir d’organismes simples. Les mêmes éléments peuvent mieux s’interpréter dans un cadre biblique – en effet, ce système peut permettre à des organismes multicellulaires de se développer à partir d’une cellule « simple » – mais il s’agit ici de l’ovocyte fécondé. C’est plus logique, car ce dernier contient toute la programmation pour développer toutes les informations nécessaires au développement d’une forme de vie complexe à partir d’un embryon. Il s’agit par ailleurs d’un exemple de bonne économie de conception qui indique un unique Concepteur, par opposition à plusieurs. En revanche, la première cellule simple à développer la machinerie complexe de l’épissage n’aurait disposé d’aucune information à épisser.

Mais Mattick pourrait avoir en partie raison en ce qui concerne la diversification de la vie. Les créationnistes croient eux-mêmes que la vie s’est diversifiée : après le Déluge. Toutefois, cette diversification n’a fait intervenir aucune nouvelle information. Certains créationnistes ont proposé que certaines parties de l’ADN actuellement non codant auraient pu permettre une diversification plus rapide,12 et la théorie de Mattick pourrait fournir un autre mécanisme.

Les évolutionnistes ont produit une longue liste d’exemples de « mauvaise conception », mais aucun d’entre eux ne tient la route.

Références et notes

  1. Byte, avril 1985. Revenir au texte.
  2. P. Gurney, « Is our ‘inverted’ retina really ‘bad design’? » Journal of Creation 13(1):37–44, 1999. Revenir au texte.
  3. New Scientist 174(2338):18, 13 avril 2002. Revenir au texte.
  4. S. J. Gould, « The Panda’s Thumb: More Reflections in Natural History » (New York, district de New York : W. W. Norton & Co., 1980), p. 24. Revenir au texte.
  5. Cf. John Woodmorappe, « The Panda thumbs its nose at the dysteleological arguments of the Atheist Stephen Jay Gould », Journal of Creation 13(1):45-­48, 1999. Revenir au texte.
  6. H. Endo et al., « Role of the Giant Panda’s ‘Pseudo-thumb’ », Nature 397(6717):309–310, 1999. Revenir au texte.
  7. Pour un aperçu, cf. L. Walkup, « Junk DNA: Evolutionary Discards or God’s Tools? » Journal of Creation 14(2):18–30, 2000. Revenir au texte.
  8. P. Cohen, « New Genetic Spanner in the Works », New Scientist 173(2334):17, 16 mars 2002. Revenir au texte.
  9. Don Batten, « ‘Junk’ DNA (again) », Journal of Creation 12(1):5, 1998. Revenir au texte.
  10. J. S. Mattick, « Non-coding RNAs: The Architects of Eukaryotic Complexity », EMBO Reports 2:986–991, novembre 200 ; embo-reports.oupjournals.org/cgi/content/abstract/2/11/986 ; M. Cooper, Life 2.0, New Scientist 174(2346):30–33, 8 juin 2002 ; C. Dennis, « The Brave New World of RNA », Nature 418(6894):122–124, 11 juillet 2002. Revenir au texte.
  11. Cooper, cf. réf. 10. Revenir au texte.
  12. Par ex., T. C. Wood, « Altruistic Genetic Elements (AGEs) », in Walkup, réf. 7. Revenir au texte.

Note sur les citations : Les citations de l’article de John Rennie dans Scientific American seront marquées « SA », suivi du numéro de page. Les citations et autres mentions de la série télévisée « Evolution » de PBS-TV porteront la mention « PBS », suivie du numéro de l’épisode ; par exemple, « PBS 6 » fait référence à l’épisode 6. Revenir à l’article.


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