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Table des matières

Unité 1

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Chapitre 1Ar­gu­ment : Le créa­tion­nisme est de la religion, pas de la science


Chapitre 2Ar­gu­ment : théorie de l’évolution et foi chrétienne sont compatibles


Chapitre 3Argument : La théorie de l’évolution est de la vraie science, et pas « juste une théorie »


Unité 2

Chapitre 4Argument : La sélection naturelle mène à la spéciation


Chapitre 5Argument : Certaines mutations sont bénéfiques


Chapitre 6Argument : La conception commune indique un ancêtre commun


Chapitre 7Argument : La « conception défectueuse » constitue un vestige de l’évolution


Chapitre 8Argument : Le registre fossile soutient la théorie de l’évolution


Unité 3

Chapitre 9Argument : Probabilité de l’évolution


Chapitre 10Argument : La « complexité irréductible »


Chapitre 11Argument : L’évolution du sexe


Chapitre 12Argument : L’évolution de l’humanité


Annexe 1Arguments courants en faveur de la théorie de l’évolution qui ont été rejetés


Annexe 2Arguments courants en faveur de la création à ne pas utiliser

« L’Évolution réfutée II » : chapitre 9

La suite de « L’Évolution réfutée » infirme les derniers arguments en faveur de la théorie de l’évolution (tels que présentés par PBS et Scientific American).

par , avec Michael Matthews
Traduit par Narindra Ramanankasaina

Argument : Probabilité de l’évolution

Les évolutionnistes disent : « La biochimie, les simulations informatiques et l’ordre “naturel” observable dans la nature (comme les cristaux et les flocons de neige) démontrent que l’évolution est hautement probable. »

Publié pour la première fois dans « Refuting Evolution 2 », chapitre 9.

Ce chapitre examine plusieurs allégations concernant la probabilité de l’évolution. Je citerai les points 7, 8 et 9 de l’article de Scientific American intitulé « 15 Answers to Creationist Nonsense » (« 15 réponses aux inepties créationnistes » – NdT), puis j’y répondrai à mon tour. Chaque point de Scientific American présente une accusation contre la théorie de l’évolution, suivie d’une tentative de réponse de la part du magazine.

L’origine de la vie

7. La théorie de l’évolution ne peut expliquer l’apparition de la vie sur terre.

L’origine de la vie reste un mystère, mais les biochimistes ont appris comment les acides nucléiques primitifs, les acides aminés et d’autres éléments constitutifs de la vie ont pu se former… [SA 81]

En fait, ils ont découvert comment certains des principaux éléments constitutifs ne peuvent se former, par exemple la cytosine. Les conditions « prébiotiques » proposées, que les biochimistes tentent de recréer en laboratoire, n’ont rien de réaliste, car les prétendus « précurseurs chimiques  » n’auraient selon toute probabilité jamais pu se concentrer en quantité suffisante, et ces produits chimiques auraient subi des réactions secondaires avec d’autres composés organiques. La cytosine manque de toute façon bien trop de stabilité pour avoir pu s’accumuler au cours des ères géologiques, car sa demi-vie ne dépasse pas 340 ans à 25° C.1

…et se sont organisés en unités auto-reproductibles et auto-entretenues… [SA 81]

Pure esbroufe : la polymérisation spontanée présente un obstacle majeur pour les substances chimiques non vivantes.2 Il en va de même pour la production de molécules de chiralités identiques.3 Les tenanciers de l’évolution chimique ont encore à résoudre ces problèmes, sans même parler de la production d’un système autoreproducteur ayant un quelconque rapport avec les cellules.4

…jetant les bases de la biochimie cellulaire. Les analyses astrochimiques suggèrent que des quantités de ces composés pourraient provenir de l’espace et être tombées sur terre dans des comètes, un scénario qui pourrait résoudre le problème de l’apparition de ces constituants dans les conditions qui prévalaient lorsque notre planète était jeune. [SA 81]

Un vœu pieux, là encore, en partie motivé par la stérilité des théories actuelles sur l’apparition spontanée de la vie sur Terre. Plusieurs problèmes se posent, dont les suivants :5

  • Les quantités de ces produits chimiques sont infimes, bien trop faibles pour contribuer aux processus biologiques.
  • La grande variété de composés compte en soi comme une preuve contre l’évolution chimique. Même avec les composés purs utilisés dans les expériences, les résultats restent dérisoires, alors à quel point seraient-ils pires avec la crasse contaminée produite dans le monde réel ?
  • Les sucres, très instables, se décomposent ou réagissent avec d’autres produits chimiques facilement. Cela va à l’encontre de tout mécanisme proposé pour les concentrer dans des proportions utilisables.
  • Les êtres vivants ont besoin de sucres homochiraux, c’est-à-dire ayant la même chiralité, mais ceux provenant de l’espace ne l’auraient pas été.
  • Même dans des conditions éminemment artificielles, il n’existe aucune méthode plausible pour faire en sorte que le sucre ribose s’associe à certains des éléments essentiels nécessaires à la fabrication de l’ADN ou de l’ARN. Au contraire, les longues molécules ont tendance à se décomposer.
  • Même l’ADN ou l’ARN en eux-mêmes ne constitueraient pas la vie, car il ne suffit pas d’assembler les bases (« lettres »), mais la séquence doit avoir un sens – et celle-ci n’est pas fonction de la chimie des lettres.
  • Même une séquence de lettres correcte n’aurait aucun sens sans une machine de décodage élaborée pour la traduire. À moins que le mécanisme de décodage n’existe au préalable, ces instructions demeureraient illisibles. De même, ce livre resterait inutile pour un non-francophone, qui pourrait connaître l’alphabet latin mais pas le code du français permettant de convertir les lettres en concepts significatifs.

L’article de Scientific American poursuit :

Les créationnistes tentent parfois d’invalider l’ensemble de la théorie de l’évolution en soulignant l’incapacité actuelle de la science à expliquer l’origine de la vie. Mais même si la vie sur Terre s’avérait avoir une origine non évolutive (par exemple, si des extraterrestres avaient introduit les premières cellules il y a des milliards d’années), l’évolution depuis lors trouverait une solide confirmation dans d’innombrables études microévolutives et macroévolutives. [SA 81]

C’est reparti pour un tour de passe-passe de VRP malhonnête au sujet des significations de l’évolution. De toute façon, cela minimise le vrai problème. La théorie de l’évolution, justification pseudo-intellectuelle du matérialisme, prétend expliquer la vie sans Dieu. Celui-là se retrouverait donc en grande difficulté si la théorie de l’évolution posait un problème dès le départ (« évolution chimique »). Après tout, si le processus ne peut même pas démarrer, il ne peut pas continuer.

L’évolution « ne dépend pas du hasard » ? Ah bon ?

8. Mathématiquement, il est inconcevable que quelque chose d’aussi complexe qu’une protéine, sans même parler d’une cellule vivante ou d’un être humain, puisse apparaître par hasard.

Le hasard joue un rôle dans l’évolution (par exemple, dans les mutations aléatoires qui peuvent donner naissance à de nouvelles caractéristiques), mais l’évolution ne dépend pas du hasard pour créer des organismes, des protéines ou d’autres entités. Bien au contraire, la sélection naturelle, le principal mécanisme connu de l’évolution, exploite les changements non aléatoires en préservant les caractéristiques « souhaitables » (adaptatives) et en éliminant les caractéristiques « indésirables » (non adaptatives). [SA 81]

Mais la matière première sur laquelle agit la sélection naturelle consiste en des erreurs de copie aléatoires (les mutations). Si l’évolution du microbe à l’humain était vraie, nous devrions nous attendre à trouver d’innombrables mutations qui ajoutent de l’information. Or, nous n’en avons même pas découvert un seul exemple incontestable.

Prétendre que l’évolution ne dépend pas du hasard mais de la sélection naturelle « non aléatoire » est trompeur. Cela revient à ignorer le fait que la sélection naturelle ne peut expliquer l’origine de formes de vie complexes et autoreproductibles, et que les évolutionnistes n’ont aucun moyen d’expliquer cette étape essentielle de l’évolution de la vie.

Il importe d’ailleurs de noter qu’une forme de vie non complexe relève de l’impossible, puisqu’elle doit avoir la capacité de se reproduire. Même l’organisme autoreproducteur le plus simple connu, Mycoplasma genitalium (une bactérie parasite, abordée au chapitre 4), possède 482 gènes et 580 000 « lettres » (paires de bases). Mais même cela ne semble pas suffisant pour qu’elle se sustente sans parasiter un organisme encore plus complexe. Comme nous l’avons vu, le parasitisme résulte selon toute vraisemblance de la perte d’une partie de l’information génétique nécessaire à la fabrication de certains nutriments essentiels.6 Par conséquent, une hypothétique première cellule capable de se maintenir en vie devrait afficher encore plus de complexité.

Tant que les forces de sélection restent constantes, la sélection naturelle peut pousser l’évolution dans une direction et produire des structures sophistiquées dans des délais étonnamment courts. [SA 81]

Un exemple aurait été le bienvenu.

Les « simulations » informatiques de l’évolution

Scientific American fait allusion à des « simulations » informatiques de l’évolution, bien qu’elles se fondent sur des hypothèses qui ne correspondent pas à la réalité :

À titre d’analogie, considérons la séquence de 13 lettres « TOBEORNOTTOBE ». Des millions de singes hypothétiques, dont chacun taperait une phrase par seconde, pourraient mettre jusqu’à 78 800 ans pour la trouver parmi les 2 613 séquences de cette longueur. Mais dans les années 1980, Richard Hardison, de l’université de Glendale, a écrit un programme informatique qui créait des phrases de manière aléatoire tout en conservant la position des lettres individuelles correctement placées (de fait, il sélectionnait des phrases plus proches de celle de Hamlet). En moyenne, le programme a recréé la phrase en 336 itérations seulement, soit moins de 90 secondes. Plus étonnant encore, il a pu reconstituer l’intégralité de la pièce de Shakespeare en seulement quatre jours et demi. [SA 81–82]

L’athée Richard Dawkins a largement popularisé ces programmes informatiques, mais il s’agit de bluff complet. Ces simulations, que Dawkins et maintenant Scientific American proposent comme « simulations » de l’évolution, visent un objectif connu, et sont donc loin de constituer un parallèle avec l’évolution réelle, sans but prévisible, d’où le terme d’« horloger aveugle » [titre d’un livre où Richard Dawkins entreprend de démontrer que la sélection naturelle, guidée par le pur hasard, pourrait produire une apparence de conception dans la nature – NdT]. Les simulations utilisent aussi des « organismes » ayant des taux de reproduction élevés (produisant de nombreux descendants), des taux de mutation importants, une forte probabilité de mutation bénéfique et un coefficient de sélection de 1 (sélection parfaite) au lieu de 0,01 (ou moins), ce qui correspond davantage à la réalité. Les « organismes » ont des « génomes » minuscules avec un contenu en information infime, ce qui les rend moins sujets à la mutabilité catastrophique, et les contraintes chimiques et thermodynamiques d’un organisme réel n’ont pas d’incidence sur eux.

Le Journal of Creation a publié un article sur une simulation informatique réaliste, avec un programme téléchargeable sur le site de Creation Ministries International,7 qui démontre que le but n’est pas atteint si l’on programme des valeurs réalistes, ou que cela prend tant de temps que cela met en évidence l’impossibilité de l’évolution.8

Par ailleurs, en ce qui concerne l’origine de la première vie, impossible d’invoquer la sélection naturelle, car celle-ci consiste en une reproduction différentielle. En d’autres termes, si elle fonctionnait, elle ne pourrait fonctionner que sur un organisme vivant capable de produire une descendance. Par définition même, elle ne pourrait fonctionner sur des produits chimiques non vivants.9 Par conséquent, le hasard seul doit produire les séquences précises nécessaires, de sorte que ces simulations ne s’appliquent pas. Par conséquent, le hasard seul doit produire les séquences précises nécessaires, de sorte que ces simulations ne peuvent s’appliquer. Un autre problème de la prétendue soupe chimique tient à la réversibilité, qui accroît la difficulté d’obtenir la bonne séquence par hasard.10

La complexité de l’ordre aléatoire

L’exemple suivant d’« ineptie créationniste » présenté par Scientific American commence par de la boxe dans le vide contre un argument que les créationnistes bien informés n’avancent pas (voir l’appendice sur la deuxième loi de la thermodynamique). L’article révèle ensuite une erreur fréquente commise par les évolutionnistes : supposer que l’apparition aléatoire de l’ordre (répétitif, pauvre en information) dans la nature, comme les cristaux et les flocons de neige, permet de comprendre la genèse de la complexité (non répétitive, riche en information).

9. La deuxième loi de la thermodynamique stipule que les systèmes doivent devenir plus désordonnés avec le temps. Les cellules vivantes n’ont donc pas pu évoluer à partir de produits chimiques inanimés, et la vie multicellulaire n’a pas pu évoluer à partir de protozoaires.

Cet argument découle d’une mauvaise compréhension de la deuxième loi. [SA 82]

D’après notre expérience, le plus surprenant serait qu’un anti-créationniste sans formation en physique ou en chimie comprenne lui-même la deuxième loi [dite aussi « principe de Carnot » – NdT]. Comme nous le verrons, le biologiste John Rennie, auteur de l’article de Scientific American sur les « inepties créationnistes », ne fait pas exception. Je devrais préciser que la formulation de l’argument créationniste par Rennie ne correspond pas à la façon dont les créationnistes bien informés argumenteraient – voir l’appendice.

S’il était valable, les cristaux minéraux et les flocons de neige seraient également impossibles, car ils sont eux aussi des structures complexes qui se forment spontanément à partir de parties désordonnées. [SA 82]

Non, comme d’habitude, ce créationnistophobe confond ordre et complexité. La différence entre les cristaux des roches et les protéines des organismes vivants est profonde. Si l’on casse un cristal, on obtient simplement des cristaux plus petits ; si l’on casse une protéine, on n’obtient pas une protéine plus petite, mais on perd complètement la fonction. Les grands cristaux, pauvres en information, se contentent de se répéter, alors que la molécule de protéine n’est pas composée par simple répétition. Ceux qui fabriquent des protéines savent qu’ils doivent ajouter un acide aminé à la fois, et que chaque ajout comporte environ 90 étapes chimiques.

La deuxième loi stipule en fait que l’entropie totale d’un système fermé (un système dans lequel ni énergie ni matière ne sortent ou n’entrent)… . [SA 82]

Non, comme d’habitude, ce créationnistophobe confond ordre et complexité. La différence entre les cristaux des roches et les protéines des organismes vivants est profonde. Si l’on casse un cristal, on obtient simplement des cristaux plus petits ; si l’on casse une protéine, on n’obtient pas simplement une protéine plus petite, mais on perd complètement la fonction. Les grands cristaux, pauvres en information, se contentent de se répéter, alors que la molécule de protéine n’est pas construite par simple répétition. Ceux qui fabriquent des protéines savent qu’ils doivent ajouter un acide aminé à la fois, et que chaque ajout comporte environ quatre-vingt-dix étapes chimiques.

…ne peut pas diminuer. L’entropie est un concept physique souvent décrit comme un désordre, mais il diffère de manière significative de l’usage familier du mot. [SA 82]

Nous sommes tout à fait d’accord et le soulignons souvent.

Mais surtout, la deuxième loi permet à certaines parties d’un système de voir leur entropie diminuer tant que d’autres parties connaissent une augmentation compensatoire. Ainsi, notre planète dans son ensemble peut devenir plus complexe parce que le soleil y déverse de la chaleur et de la lumière, et que le surcroît d’entropie associé à la fusion nucléaire du soleil rééquilibre à profusion la balance. Les organismes simples peuvent alimenter leur progression vers la complexité en consommant d’autres formes de vie et des matériaux non vivants. [SA 82]

Cet apport d’énergie est nécessaire mais insuffisant. Le proverbial éléphant dans un magasin de porcelaine produit du désordre, mais si l’on l’attelait à un générateur, on pourrait diriger cette énergie vers un travail utile. De même, les organismes vivants disposent d’une machinerie pour diriger l’énergie provenant de la lumière du soleil ou de la nourriture, notamment l’enzyme ATP synthase. Il s’agit du plus petit moteur du monde, si petit que 1017 pourraient tenir dans une tête d’épingle.11 Paul Boyer et John Walker ont reçu une demi-part du prix Nobel de chimie de 1997 pour leur proposition selon laquelle l’enzyme était un moteur, après que la recherche de la référence 11 (articles de Nature) l’a confirmée. Mais qui dit machinerie dit téléologie (but), ce qui signifie que la machinerie doit avoir une source intelligente.

Références et notes

  1. J. Sarfati, « Origin of life: instability of building blocks », Journal of Creation 13(2):124–127, 1999. Revenir au texte.
  2. J. Sarfati, « Origin of life: the polymerization problem », Journal of Creation 12(3):281–284, 1998. Revenir au texte.
  3. J. Sarfati, « Origin of Life: the chirality problem », Journal of Creation 12(3):263–266, 1998. Revenir au texte.
  4. J. Sarfati, « Self-replicating Enzymes? » Journal of Creation 11(1):4–6, 1997. Revenir au texte.
  5. J. Sarfati, « Sugars from Space? Do they prove evolution? » Journal of Creation 16(1):9–11, 2002 ; « Did life’s building blocks come from outer space? Amino acids from interstellar simulation experiments? » Journal of Creation 16(2):17–20, 2002. Revenir au texte.
  6. T. C. Wood, « Genome Decay in the Mycoplasmas« , Impact 340 (octobre 2001);  icr.org/article/genome-decay-mycoplasmas. Revenir au texte.
  7. D. Batten et L. Ey, « Weasel, a flexible program for investigating deterministic computer ‘demonstrations’ of evolution », Journal of Creation 16(2):84–88, 2002. Revenir au texte.
  8. Pour plus d’informations, voir ma réfutation du livre de Dawkins, « Climbing Mt Improbable », « Stumbling over the impossible », Journal of Creation 12(1):29–34, 1998. Voir aussi W. Gitt et C. Wieland, « Weasel words », Creation 20(4):20–21 (septembre–novembre 1998) et R. Truman, « Dawkins weasel revisited », Journal of Creation 12(3):358–361, 1998. Pour une réfutation de l’idée même de simulations informatiques de l’évolution, en particulier sous la forme d’algorithmes génétiques, cf. Don Batten, « Genetic algorithms—do they show that evolution works? » Tous ces problèmes s’appliquent pareillement à la « simulation » simpliste mentionnée par Scientific American. Revenir au texte.
  9. Sidney Fox, éditeur, « The Origins of Prebiological Systems, Synthesis of Nucleosides and Polynucleotides with Metaphosphate Esters », T. Dobzhansky (New-York, district de New-York : Academic Press, 1965). Revenir au texte.
  10. R. Grigg, « Could Monkeys Type the 23rd Psalm? » Creation 13(1):30–33, décembre 1990–février 1991. Revenir au texte.
  11. H. Noji et al., « Direct Observation of the Rotation of F1-ATPase », Nature 386(6622):299–302, 1997. Commentaire par S. Block, « Real Engines of Creation », même numéro, pp. 217–219 ; J. Sarfati, « Design in Living Organisms: Motors », Journal of Creation 12(1):3–5, 1998.
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Note sur les citations : Les citations de l’article de John Rennie dans Scientific American seront marquées « SA », suivi du numéro de page. Les citations et autres mentions de la série télévisée « Evolution » de PBS-TV porteront la mention « PBS », suivie du numéro de l’épisode ; par exemple, « PBS 6 » fait référence à l’épisode 6. Revenir à l’article.


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